Comment ça marche ?
Retrouvez dans ce Dossier, les podcasts, déclarations officielles du MEDEF Nouvelle-Calédonie et citations médiatiques, au 2nd trimestre 2022
Pour l'historique consultez ces dossiers :
Le MEDEF-NC dans les medias au 4ème trimestre 2022
Le MEDEF-NC dans les media au 3ème trimestre 2022
Le MEDEF-NC dans les media au 2nd trimestre 2022
MEDEF-NC dans les media au 1er trimestre 2022
MEDEF-NC dans les media au 2nd semestre 2021
MEDEF-NC dans les media au 1er semestre 2021
La commission des lois à l’écoute du monde économique
(madein.nc 30/06/2022)
Dans le cadre de leur mission d’information sur l’avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie, les sénateurs de la commission des lois, François-Noël Buffet, Philippe Bas et Jean‑Pierre Sueur, ont été à la rencontre de toutes les parties prenantes du Territoire. L’objectif : « écouter pour recréer de la confiance ».
Au regard des enjeux politiques et juridiques de la nouvelle période institutionnelle qui s’ouvre à l’issue de la troisième consultation relative à l’autodétermination, la commission des lois a créé une mission d’information sur l’avenir institutionnel de la Nouvelle‑Calédonie présidée par François-Noël Buffet. « Nos travaux doivent contribuer à la réflexion sur la situation institutionnelle, en accompagnant et en consolidant le processus de dialogue initié par les accords de Matignon et Nouméa entre l’État et les populations calédoniennes dans « l’après Nouméa » », explique le sénateur. (...) Ce 28 juin, c’était au tour des chambres consulaires, organisations patronales et professionnelles d’être reçues par les sénateurs. « Nous leur avons rappelé que la stratégie définie pour l’avenir de la Nouvelle-Calédonie ne peut se construire sans le monde économique, commente Xavier Benoist, président de la Finc. Mais pour cela, il est urgent aujourd’hui que nos politiques changent de méthode ! » S’ils sont restés prudents quant aux éventuelles pistes à préconiser pour l’avenir du Territoire, François-Noël Buffet, Philippe Bas et Jean‑Pierre Sueur ont assuré de la nécessité de « renouer les fils du dialogue ».
En direct du FORUM DE L'EMPLOI-FORMATION ce 23 juin 2022
Podcasts | Radio Rythme Bleu (rrb.nc)
Nos mandataires invités sur le plateau délocalisé à la Maison des artisans pour l'émission "les jeudis de l'économie" conscrés à l'Emploi et à la Formation.
« La Nouvelle-Calédonie n’a pas les moyens d’une politique massive contre l’inflation » Mimsy DALY, Présidente du MEDEF-NC
NCNews 01/06/2022
Vie chère, réforme fiscale, solde migratoire négatif, avenir institutionnel… Reconduite à la présidence du Medef NC le 19 mai, Mimsy Daly commente l’actualité et présente les grands chantiers de l’organisation patronale pour les 3 années à venir.
Outre-Mer 360° - Nouvelle-Calédonie- Mimsy Daly: « La Nouvelle-Calédonie n’a pas les moyens d’une politique massive contre l’inflation »
La présidente du Medef NC, qui a récemment changé de logo pour celui du « Mouvement des Entreprises en Nouvelle-Calédonie », Mimsy Daly, était l’invité de nos partenaires de NC News pour évoquer plusieurs questions d’actualité économique. L’occasion d’évoquer plus particulièrement les problématiques d’inflation que connaît le territoire, dans un contexte de crise globalisée.
Crise interne avec la vente de l’Usine du Sud, crise sanitaire du Covid, crise Ukrainienne, sur fond d’incertitude institutionnelle, la Nouvelle-Calédonie fait face à de nombreux défis et son économie accuse le choc. À l’instar d’autres territoires ultramarins et plus particulièrement insulaires, le territoire fait face à une vague inflationniste particulièrement forte, face à laquelle les institutions locales, seule, ne sont pas en mesure de faire face, selon la présidente du Medef-NC.
Dans un contexte aussi difficile, se sont déroulés les premières années de mandature de Mimsy Daly à la tête du mouvement patronal. Une expérience qui reste, malgré les difficultés, « un moment très fort. On a été aussi amené à ressouder l’unité du monde patronal pendant cette période compliquée, parce qu’au-delà du Covid, les échéances institutionnelles nous ont mis au pied du mur sur notre politique économique, fiscale, sociétale ».
Depuis peu, le conflit qui oppose la Russie à l’Ukraine a éclaté, dont les répercussions impactent l’ensemble des économies mondiale, et la Nouvelle-Calédonie n’y fait pas exception. Ce dernier rebondissement international est un nouveau coup dur pour le territoire, explique Mimsy Daly :
« Le constat général c’est qu’on a rarement vu pire en réalité, on ne pouvait pas imaginer dans nos pires cauchemars cumuler autant de problèmes dans un temps aussi court (…) Tout le monde est touché, les entreprises sont en première ligne parce qu’elles ne peuvent pas répercuter sur leurs coûts et leur prix de vente, les hausses auxquelles elles font face. Cela met les entreprises déjà fragiles à la sortie du Covid dans des situations parfois très très compliquées ».
L’un des effets les plus visibles est sans conteste la forte inflation qui touche tous les pays, mais plus particulièrement les territoires ultramarins et insulaire, en raison de leur dépendance à l’importation. Dans ce contexte, les institutions du territoire mettent en œuvre des stratégies de limitation de ses effets.
Une stratégie nécessaire, réalisé par les institutions, mais qui ne peut être qu’insuffisante au regard de l’ampleur de la crise, selon la présidente du Medef NC :
« On fait ce qu’on peut, et avec les moyens qu’on a c’est très compliqué. On peut évidemment travailler sur des boucliers qualité-prix, sur les fruits et légumes, la viande, c’était une bonne chose. En revanche, face à la hausse des prix importés que nous connaissons, c’est extrêmement compliqué d’appliquer un contrôle des marges, d’appliquer des prix maximums parce qu’en réalité, la plupart du temps vous n’allez pas réussir à les faire respecter, donc vous allez tout simplement arrêter d’importer certains produits. Donc risque de pénurie, des choix sur les prix les moins chers possibles... »
Au final, même si l’effort est global, Mimsy Daly assène : « La Nouvelle-Calédonie n’a pas les moyens d’une politique massive contre l’inflation ».
Seul ressort, l’appel à l’aide de la France : Encore une fois nous nous tournons vers l’État et la solidarité nationale pour essayer de juguler un petit peu ces effets-là (…) La Nouvelle-Calédonie n’aura pas les moyen, seule, de faire face ».
Cependant, il ne s’agit pas de se reposer sur une aide venue de l’Hexagone, et le groupement des chefs d’entreprise souhaite apporter sa pierre à l’édifice, en proposant son expertise dans les échanges :
« On essaye d’avoir l’approche qui est la plus pragmatique et la plus réaliste possible (…) Là où les efforts peuvent être fait sur les contrôles des prix, ils doivent être faits, mais il va falloir aider à un moment donné les entreprises à la source à réduire leurs coûts d’importation. Ça passe soit par des aides de l’État, soit la réduction de certaines taxes à l’importation, soit la mise en œuvre pour soutenir la consommation de chèques alimentaires ou carburants, qui sont de bonnes idées puisqu’elles permettent de toucher la partie de la population qui en aura le plus besoin ».
Et de conclure sur ce sujet : « Il ne faut pas uniquement penser que les entreprises vont pouvoir régler ce problème seule, cela n’est pas possible ».
Damien Chaillot
Législatives 2022 - Rencontres avec les candidats
[ACTUALITE #LEGISLATIVES2022] Portrait de la 1ère circonscription de Nouvelle-calédonie la 1ère avec l'intervention de Mimsy DALY, Présidente du Mouvement des Entreprises NC sur les attentes du monde économique et social vis à vis de l'Etat.
Thierry Santa a partagé la publication de Mouvement des Entreprises NC. :
« Merci au monde économique représenté par NC Eco pour ces échanges sur la situation économique du territoire, et sur les enjeux démographiques et humains, notamment en terme de compétences, particulièrement critique aujourd'hui. La Nouvelle-Calédonie doit redevenir attractive et la société civile doit être largement incluse dans les réflexions d'avenir sur ce sujet comme sur d'autres. »
GROS PLAN : Les finances du pays "en situation de crise"
LNC.nc 30/05/2022
Les élus du Congrès étudieront lundi après-midi le rapport d’observations de la Chambre territoriale des comptes sur la situation financière de la Nouvelle-Calédonie. Un document de 127 pages qui dresse un état des lieux inquiétant et livre une série de recommandations pour éviter la faillite.
Création d'un nouveau syndicat professionnel pour les armateurs
LNC 28/04/2022
Mimsy DALY reconduite à la présidence du MEDEF-NC
ACTU.NC du 27 mai 2022
L'Assemblée Générale Elective de la 1ère organisation patronale de Nouvelle-Calédonie s'est déroulée ce jeudi 19 mai 2022.
LNC du 25/05/2022
Un nouveau bouclier qualité-prix activé le 1er juin pour les fruits et légumes
francetvinfo.fr
Pour lutter contre l’inflation, un accord interprofessionnel a acté mardi 24 mai, la mise en place d'un nouveau bouclier qualité-prix de fruits et légumes. Le gouvernement de la Nouvelle-Calédonie a approuvé, mercredi, sa mise en œuvre, au 1er juin. Un panier de 6 kg sera proposé à 2 500 francs CFP.
Communiqué : Constitution du Comité Directeur du MEDEF-NC le 24/05/2022
Le premier "COMEX" a eu lieu ce mardi 24 mai pour la désignation des 6 membres du Comité Directeur qui représentent nos 6 sections par secteurs d'activité.
Ce mardi 24 mai, la Présidente du MEDEF-NC a réuni le Comité Exécutif (45 membres) nouvellement élu lors de l'Assemblée Générale du 19 mai 2022, pour désigner les 6 membres associés au Bureau (Présidente, Vice-Président et Trésorier) qui composent ensemble le Comité Directeur :
BUREAU | |
---|---|
Présidente : |
Mimsy DALY (STOCK IMPORT) |
Vice-Président : | Bertrand COURTE (COURTE & FILS) |
Trésorier : | Benoit MEUNIER (SC PIREL) |
SECTIONS |
|
BTP : | Nicolas BEAUFORT (GROUPE VINCI) |
COMMERCE : |
Thibault MARTELIN (FIGESBAL) |
INDUSTRIE : |
Barbara VLAEMINCK (METALCO.NC) |
MINE & METALLURGIE : |
Dominique KATRAWA (SOCIETE LE NICKEL) |
SERVICES : |
Alexandre LAFLEUR (CAN’L) |
TOURISME : | Edouard CASTAING (SUDILES) |
Le prochain Comité Exécutif se réunira fin juin, pour fixer la feuille de route de ce nouveau mandat pour 2022-2025.
Vie chère : les syndicats montent au créneau -
Nouvelle-Calédonie la 1ère (francetvinfo.fr 21/05/2022)
Troisième réunion ce vendredi au gouvernement avec les partenaires sociaux sur les mesures de lutte contre la vie chère. Les syndicats des salariés ont donné leur avis et leurs propositions lors d'une conférence de presse conjointe.
De premières mesures de lutte contre l'inflation annoncées par le gouvernement
francetvinfo.fr 04/05/2022
De premières mesures de lutte contre l'inflation annoncées par le gouvernement. Le gouvernement de la Nouvelle-Calédonie a présenté plusieurs mesures "destinées à combattre l'inflation des prix dans les domaines de l’énergie, de l’alimentation et des produits importés", mercredi 4 mai au soir. Une seconde série de mesures conjoncturelles doit être annoncée, la semaine prochaine.
ASSEMBLEE GENERALE DU 19/05/2022 - DANS LES MEDIA :
Mimsy Daly réélue à la tête du Medef | LNC.nc 20/05/2022 |
Le Medef NC a tenu jeudi soir son assemblée générale au Château Royal et a procédé à l'élection de son président. Sans surprise, Mimsy Daly a été réélue à la tête de l'organisation patronale. Elle sera dès vendredi matin présente au côté des partenaires sociaux au gouvernement afin de poursuivre les discussions dans le cadre du comité de suivi de la réforme fiscale. Bertrand Courte a été élu vice-président et Benoît Meunier, trésorier.
JOURNAL : VENDREDI 20/05/22 (MATIN) | Radio Rythme Bleu 20/05/2022
Mimsy Daly réélue présidente du Medef. Le vote a eu lieu hier lors de l’assemblée générale de l’organisation patronale.
Elle sera désormais accompagnée au sein du bureau par un vice-président et un trésorier. C’est Bertrand Courte qui a été désigné vice-président, et Benoit Meunier trésorier.
Mimsy Daly réélue à la tête du Medef (francetvinfo.fr 20/05/2022)
Elle a été reconduite hier lors de l’assemblée générale élective de la l’organisation patronale. Bertrand Courte a été élu vice-président et Benoît Meunier, trésorier.
Nouvelle-Calédonie : Mimsy Daly reconduite à la tête du Medef | Outremers360 20/05/2022
Mimsy Daly a été réélue le 19 mai à la tête de l’organisation patronale, lors de l’assemblée générale élective.
Bertrand Courte a été élu vice-président et Benoît Meunier, trésorier. Ils exerceront leur mandat pour trois ans et non plus deux, consécutivement à la réforme des statuts de l'organisation votée le 17 juin 2021. Mimsy Daly est à la tête de l’organisation patronale depuis le 18 février 2021, alors que son prédécesseur, Samuel Hnepeune, avait intégré le gouvernement collégial. Le patron d’Air Calédonie, candidat à la présidence de l’exécutif pour l’Union calédonienne, l’a toutefois quitté après que Louis Mapou (UNI-Palika) ait finalement été élu chef du gouvernement à l’issue de longues négociations entre les deux grandes formations indépendantistes.
L'Assemblée Générale Elective de la 1ère organisation patronale de Nouvelle-Calédonie s'est déroulée ce jeudi 19 mai 2022.
COMMUNIQUE DE PRESSE :
Mimsy DALY est reconduite à la Présidence, elle sera accompagnée au sein du bureau par un vice-président : Monsieur Bertrand COURTE, Groupe COURTE & FILS et d'un Trésorier : Monsieur Benoit MEUNIER, SARL PIREL.
Les membres du Comité Exécutif ont également été élus lors de cette Assemblée Générale :
Résultat des élections du MEDEF-NC pour le Comité Exécutif - Mandat 2022-2025
Un conférence de presse sera organisée à l'issue de la tenue du Comité Exécutif de cette nouvelle mandature 2022-2025 pour vous faire rencontrer les membres des 6 sections qui composent le MEDEF-NC : BTP, Commerce, Industrie, Mines et métallurgie, Services et Tourisme.
Pour mémoire, une réforme de nos statuts a été votée le 17 juin 2021.
Cette réforme allonge le mandat du Bureau et du Comité Exécutif du MEDEF-NC de 2 à 3 ans. L'élection s'est effectuée au suffrage direct. Les adhérents ont donc pu élire leurs Président, Vice-président et Trésorier, sur la base d'un programme qui pourra être réalisé dans un délai plus long pour atteindre les objectifs.
Consultez le rapport d'activité 2021, incluant le mot de la Présidente : rapport_dactivite_medef-nc_2021.pdf
Inflation, fiscalité, nouveau modèle : L'Inter-patronale et les syndicats de salariés ont opté pour le dialogue
(francetvinfo.fr 18/05/2022)
L’inter-patronale, participe à la fois aux réunions mises en place par le gouvernement au sujet des mesures contre l’inflation et au comité de suivi de la réforme fiscale.
L’exécutif et les partenaires sociaux se rencontrent à intervalles très réguliers ces dernières semaines. Sur la fiscalité comme sur l’inflation. Ce qui n’empêche pas une nouvelle mobilisation d’avoir lieu ce 18 mai pour protester contre la vie chère et l’augmentation envisagée de la TGC et de la CCS. “ On comprend les préoccupations qui animent les manifestants aujourd’hui", "Le choix de l’inter-patronale et la majorité des organisations syndicales représentatives, c’est plutôt de rentrer dans une méthode de concertation et de dialogue avec le gouvernement. “
Un espace de concertation
Après avoir critiqué la méthode et l’absence de concertation avec les acteurs économiques lorsque le projet de réforme fiscale a été présenté en fin d’année dernière, le contexte a évolué. “ Aujourd’hui on a un cadre et un espace de dialogue qui est ce comité de suivi de la réforme fiscale “, espace qui permet aux organisations de faire part de leurs propositions, de leurs avis sur les mesures envisagées et “ on a des signaux qui sont plutôt positifs “, précise le secrétaire général. Notamment sur le projet de réforme fiscale puisque l’inter-patronale a pu présenter son propre projet et en demander une étude d’impacts par un cabinet neutre et spécialisé. Demande validée par le gouvernement.
Changer de modèle
"La proposition de l’inter-patronale vise plutôt à offrir à la Nouvelle-Calédonie une stratégie, un changement de modèle". Avec, comme base de la proposition, le choix de fiscaliser une partie du coût du travail en réduisant les cotisations payées par le salarié et par l’entreprise "et de les rattraper sur des impôts à assiette beaucoup plus large, telles que la CCS ou la TGC". La mécanique se veut vertueuse en allégeant les charges, en augmentant les salaires nets et en redonnant ainsi du pouvoir d’achat, permettant de stimuler la consommation, et ainsi la réussite des entreprises calédoniennes.
Plus le choix
Reste qu’il y a urgence. Urgence à trouver des recettes fiscales conséquentes et pérennes, urgence à trouver comment sauver les comptes sociaux… Pour autant, estime Baptiste Faure et la CPME, il n’y a plus le choix.
“ Ça fait trop longtemps que l’on dit que la Nouvelle-Calédonie est en crise, que l’on doit changer de modèle et que malheureusement on procède par à-coup, dans l’urgence. C’est un changement qui peut se faire sur le moyen terme mais on estime qu’on n’a plus vraiment le choix sinon la Calédonie, économiquement et socialement, risque de faire face à des temps beaucoup plus durs. “ Un monde économique dans l’attente désormais des décisions du gouvernement. Et de l’avenir du prêt AFD garanti par l’Etat mis en pause par le Congrès mais sur lequel se basent toutes les hypothèses pour le futur…
- VOIR L'INTERVIEW DU SECRETAIRE GENERAL DE LA CPME PORTE-PAROLE DE L'INTERPATRONALE -
Mimsy DALY, la Présidente du MEDEF-NC répond sur les mesures de l'exécutif et la concertation des partenaires sociaux vendredi dernier.
Fiscalité : L'interpatronale veut un modèle à l'islandaise
LNC.nc 10/05/2022
Augmenter fortement les salaires en abaissant les cotisations sociales d'un côté puis de l'autre augmenter la TGC dont le rendement escompté n'a jamais été au rendez-vous. C'est le pari de l'interpatronale pour relancer le pays. L'idée n'est pas nouvelle en soi. Elle est directement inspirée du système islandais.
Extrait :
Pourquoi préconiser aujourd'hui une réforme de la fiscalité de ce type ?
Tout le monde nous a demandé de travailler sur la fiscalité. Louis Mapou nous l'a demandé au mois d'août, Sébastien Lecornu lors de sa venue en Calédonie, avec un objectif, la réduction des inégalités. Nous avons mené un grand nombre de réunions avec l'interpatronale et nous avons retenu ce scénario islandais. L'équation que nous avons à résoudre est très compliquée. On fait peser sur le travail l'essentiel de la solidarité territoriale avec un taux de prélèvement sur l'emploi qui est très élevé, soit 16 % [France à 14,5, Islande à 9 %).
« La réforme du gouvernement ne change pas grand-chose si ce n'est que tout augmente en même temps. »
Autre handicap, le taux d'emploi très faible à 56 %. Il y a 50 000 personnes qui ne travaillent pas. Il faut tout changer car nous arrivons au bout de l'exercice. Notre PIB baisse depuis 4 ans, des gens quittent le territoire, le taux d'emploi commence à baisser. Le système est à bout de souffle avec un taux de dépenses publiques très élevé.
N'est-ce pas un pari risqué ?
Notre postulat est qu'il faut relancer l'activité et créer un choc de consommation. Ce choc de consommation nous impose de changer radicalement de système, comme l'Islande a su le faire. Il y a beaucoup de similitudes entre ce pays et nous et c'est un peu un modèle à suivre avec une industrie métallurgique performante, une industrie de transformation, le développement de l'éco-tourisme et une transition énergétique réussie.
L'interpatronale prend acte de la décision du Congrès
Vie chère la grogne monte
ACTU NC 05/05/2022
COMMUNIQUE DE L'INTERPATRONALE 06/05/2022
Nouméa, le 6 mai 2022
L’interpatronale ne peut que prendre acte de l’adoption par le Congrès du projet de réforme fiscale déposé par le Gouvernement de la Nouvelle-Calédonie pratiquement identique à celui proposé par le Gouvernement au mois de novembre suscitant de vives contestations.
Nous précisons que les discussions au sein du Comité de suivi de la réforme fiscale n’ont conduit, à ce jour, à aucune forme de validation ou de cautionnement des orientations par les organisations représentatives patronales de cette réforme visant à augmenter unilatéralement la pression fiscale à l'exception de discussions sur le projet d'une revalorisation de la CCS en vue du sauvetage du RUAMM, en considération toutefois de ces effets, combinée à une augmentation des taux de TGC, sur le pouvoir d’achat des calédoniens.
Nous rappelons que l’étude d’impact des réformes proposées conclue à des impacts extrêmement négatifs, tant sur le pouvoir d’achat des Calédoniens, que sur l’activité des entreprises et l'emploi.
L’inter patronale a formulé, dans le cadre du Comité de suivi, des propositions alternatives qui doivent également faire l’objet d’études d’impact, et dont l’objectif est de faire coïncider des objectifs de rendement fiscal et de relance économique.
Nous tenons à clarifier, sans ambiguïté, que la concertation dans un esprit de responsabilité doit continuer de prévaloir et réaffirmons la nécessité d’un véritable débat public à ce sujet.
Consulter l’actualité de notre interpatronale : www.cpme.nc www.medef.nc www.u2p.nc
Lutte contre la Vie Chère - Des mesures insuffisantes, craint le Medef
JT La 1ère 05/05/2022
Le gouvernement de la Nouvelle-Calédonie annonçait mercredi plusieurs mesures pour lutter contre la vie encore plus chère. Certaines, pour avoir une action sur le prix des carburants et d’autres, pour l’alimentaire. Tour d'horizon des réactions, auprès d'associations comme de syndicats.
Du côté du patronat, le Medef regrette un manque de concertation, car les entreprises sont elles aussi confrontées à l'augmentation des prix, des produits importés. "Une entreprise ne peut pas augmenter énormément ses prix si elle veut continuer de vendre", défend sa présidente en Calédonie, Mimsy Daly. "Le problème est, aujourd'hui, comment est-ce qu'on peut collectivement réfléchir à réduire l'impact de la hausse des tarifs des produits importés. Comment est-ce qu'on peut aussi réfléchir à produire davantage localement, notamment dans le secteur agricole. Nous allons probablement avoir une situation qui dure et pour laquelle les mesure proposées sont très nettement insuffisantes."
Cherté de Vie hausse de l'inflation
RRB 05/05/2022 - Vie chère
Quelles sont ces pistes ? Que faut-il en attendre ? C'était le thème des Jeudis de l'économie Radio Rythme Bleu.
La cherté de la vie et la hausse de l’inflation alimentent bien des débats. Le gouvernement a réuni vendredi dernier les partenaires sociaux et les services concernés pour envisager des pistes de maitrise de certains coûts, notamment sur l’alimentation et les produits pétroliers. Et un plan d’action serait en préparation. Quelles sont ces pistes ? Que faut-il en attendre ?
Pour en parler, Jean-François Bodin recevait Yves Jean-Baptiste, directeur général du groupe Saint-Vincent, Samuel Prévot le directeur de l’interprofession viande de Nouvelle-Calédonie, Mimsy Daly la présidente du Medef et Tony Dupré, vice-président de la Cogetra.
EN ROUTE POUR 43 MILLIARDS D’IMPÔTS NOUVEAUX !
| noumeaPost 06/05/2022
"En rejetant la motion préjudicielle des partis autonomistes, le Congrès a ouvert la voie à un calendrier d’aggravations fiscales dont l’objectif annoncé est un prélèvement de 43 milliards dans la poche des contribuables.
Selon le Medef, les effets collatéraux s’ajoutant au réformes envisagées font monter la facture fiscale à près de 100 milliards.
Le calendrier a été adopté sans que des indications supplémentaires aient été apportées sur l’impact des mesures listées, sur le pouvoir d’achat des ménages, l’équilibres des entreprises, et d’une manière générale, sur la consommation. Aucune indication, non plus, sur l’effet inflationniste inéluctable, à la fois sur le coût du travail et les coûts de production.
Responsable de la fiscalité au gouvernement, Gilbert Tyuienon a indiqué que plus de 40 réunions de concertation ont déjà été tenues. Beaucoup craignent que les mesures annoncées soient génératrices d’une nouvelle crise qui s’ajouterait à celle du covid, à la crise économique qui en est résultées, et à celle provoquée par l’explosion de l’inflation".
De premières mesures de lutte contre l'inflation annoncées par le gouvernement
francetvinfo.fr 04/05/2022
De premières mesures de lutte contre l'inflation annoncées par le gouvernement. Le gouvernement de la Nouvelle-Calédonie a présenté plusieurs mesures "destinées à combattre l'inflation des prix dans les domaines de l’énergie, de l’alimentation et des produits importés", mercredi 4 mai au soir. Une seconde série de mesures conjoncturelles doit être annoncée, la semaine prochaine.
Mimsy DALY, Présidente du MEDEF-NC est l'invitée du jour de Radio Océane
Claudette TRUPIT reçoit Mimsy DALY et d'autres invités sur le thème "Que faire face à l'augmentation des prix"
Election présidentielle 2022
Présidentielle 2022
Réactions calédoniennes à la réélection d’Emmanuel Macron (francetvinfo.fr 25/04/2022)
Mimsy Daly : "on est content de poursuivre nos travaux avec Emmanuel Macron". La présidente du Medef-NC est plutôt satisfaite de cette réélection. "Nous avions salué la méthode d’Emmanuel Macron et Sébastien Lecornu qui ont écouté profondément les préoccupations de la société civile et du monde économique. On est donc content de poursuivre nos travaux avec Emmanuel Macron."
JOURNAL : LUNDI 25/04/22 (SOIR) Présidentielles 2022 | Radio Rythme Bleu
La Nouvelle-Calédonie a voté Macron. Le chef de l'Etat sortant obtient 61,04% des suffrages contre 38,96% pour Marine Le Pen. Il arrive en tête dans toutes les communes calédoniennes. La participation globale pour le second tour reste faible. Elle s'établit à 34,79%. Un point et demi de plus qu'il y a 15 jours. Réaction de la Présidente du Mouvement des Entreprises de Nouvelle-Calédonie, Mimsy DALY.
Le JT - L'abstention, grand vainqueur de la présidentielle au pays | CALEDONIA 25/04/2022
Mimsy Daly, Présidente du MEDEF-NC via Skype.
Faut-il augmenter le SMG ?
DNC du 21/04/2022
DEUX LOGIQUES OPPOSÉES Pour la présidente du Mouvement des entreprises de Nouvelle-Calédonie (Medef), des augmentations de salaire "ne pourraient pas répondre à l'inflation telle qu'elle se profile", et généreraient un cercle vicieux. "Si les charges des entreprises augmentent, il y a un risque sur l'emploi. Et la priorité, c'est de le préserver."
Où en est la réforme fiscale ?
C'était le thème du Jeudi de l'Economie Radio Rythme Bleu ce 14/04/2022
La réforme fiscale toujours en débat. C’est un dossier qui a déjà fait couler beaucoup d’encre. Où en sont les discussions entre les partenaires ? Quels sont les avancées ou les points de blocage ? Quel est le calendrier envisagé par les uns et les autres ?
Jean-François Bodin recevait ce midi Jean-Raymond Postic, qui suit le dossier au cabinet de Gilbert Tyuiénon, Milo Poaniéwa le secrétaire général de l’Usoenc, Christophe Coulson, le président de l’UT CFE CGC, Mimsy Daly, la présidente du Medef, et Baptiste Faure, le secrétaire général de la CPME.
Le rapport caché sur l'impact de la réforme fiscale dévoilé
[GROS PLAN] | LNC.nc 07/04/2022 |
(...) - Lire l'article intégral -
Changement de méthode
Cette étude révélant une explosion des prélèvements fiscaux ajoutée à la levée de boucliers des partenaires sociaux, dans le patronat comme dans les syndicats, a contraint l'exécutif à revoir sa copie. Depuis le 8 mars, Gilbert Tyuienon organise un comité de suivi de la réforme fiscale. « Il permettra de suivre et de participer au débat sur les réformes portées par le gouvernement dans le domaine fiscal, pour tous les textes identifiés dans la délibération de programmation fiscale actuellement soumise au Congrès », a rappelé le membre du gouvernement en charge de la fiscalité.
Désaccord sur le taux de prélèvement
Pour le Medef, l'hypothèse de l'exécutif justifiant une hausse des prélèvements serait erronée.
« Le gouvernement assure que le taux de prélèvement en Nouvelle-Calédonie est largement inférieur à celui de la Métropole, expliquait Guillaume Benoit dans nos colonnes le 3 janvier. Mais son calcul est faux, puisqu'il est basé sur un PIB de 1 000 milliards qui prend en compte environ 180 milliards alloués par la France. Or, la réalité de la pression fiscale doit être calculée sur les seules richesses créées par la Calédonie, c'est-à-dire 825 milliards. Avec 350 milliards de prélèvements, on est plutôt à un taux de 43 %, parmi les plus élevés au monde. Le gouvernement, lui, considère qu'on est taxés à 34 %. C'est une erreur d'appréciation majeure. »
Prélèvements fiscaux : le gouvernement MAPOU aurait tout faux !
07/04/2022 noumeaPost
90 milliards prélevés sur les entreprises calédoniennes de 2022 à 2024, baisse de consommation des ménages de 38 milliards, baisse de la valeur ajoutée de 30 milliards, tel serait le bilan catastrophique du plan de réforme fiscale présenté par la majorité indépendantiste du gouvernement Mapou. C’est en tout cas le résultat de l’analyse du cabinet Didacticiel et Modélisations Economiques commandée par les services fiscaux et rapportée par Les Nouvelles.
Le Medef, de son côté, rajoute une comparaison avancée par le gouvernement entre la pression fiscale métropolitaine et la pression fiscale en Nouvelle Calédonie, qui serait fausse ! Les arguments avancés par l’Exécutif calédonien intègreraient, selon le syndicat d’employeur, les dépenses de l’Etat sur le territoire, et ne se limiterait pas à la seule « richesse créée par la Calédonie ». Conclusion du Medef : les Calédoniens seraient pressurés à 43% et non à 34% comme avancé, et figureraient dans la liste des contribuables les plus taxés dans le monde !
Ces éclairages démontrent en tout cas que la Nouvelle Calédonie manque cruellement de stratégie de développement économique et que le principe fiscal localement célèbre du « on prend l’argent là où qu’elle est » n’est pas le plus pertinent. Pourtant, il ne fait pas de doute que les finances locales doivent retrouver un équilibre, tout comme les comptes sociaux. Dans un territoire qui vit au dessus de ses moyens, où le gaspillage de fonds publics est réel, le "rééquilibrage" des prélèvements est nécessaire tout autant que celui des dépenses publiques. Une analyse et un diagnostic qui relève de compétences élevées. Ne serait-il pas temps que la Nouvelle Calédonie s’en dote ?
Grève générale de l'USTKE le 1er avril 2022
Social - Grève générale à l'USTKE - LNC du 02/04/2022
Comme annoncé, l'USTKE s'est mobilisée ce vendredi dans le cadre d'un appel à la grève générale. Le syndicat annonce des perturbations dans des commerces, le réseau de transport Taneo à Nouméa ou
encore certaines crèches. Environ 500 personnes, selon I'USTKE, étaient réunies en milieu de matinée devant le Medef et la CPME-NC à Nouméa. Elles dénoncent des accords de branche "au point mort depuis de nombreuses années dans certains secteurs" On n'occulte pas le fait que la Covid accentue la crise économique mondiale, explique Bress-Nell Porcheron, secrétaire de la branche commerce et divers. « Mais on estime que le patronat doit être davantage reconnaissant envers les petites gens qui ont permis de maintenir leurs chiffres d'affaires durant cette période. Les représentants des employeurs ont proposé des clauses de revoyure à I'USTKE, renvoyant les négociations à plus tard. Le syndicat s'inquiète de l'accroissement des inégalités et de la « perte constante de pouvoir d'achat des employés les plus modestes. « Ces négociations annuelles sont aussi importantes pour les personnes qui travaillent seules, pour la femme de ménage qui n'est pas représentée par une organisation syndicale par exemple, ajoute Bress-Nell Porcheron.
RRB 02/04/2022
Dans l'actualité sociale, l'USTKE suspend la grève générale dans l'ensemble du secteur privé. Le syndicat et ses 11 fédérations réclamaient aux organisations patronales des revalorisations de salaire face à la hausse des prix dans de nombreux secteurs. Des délégations ont été reçues hier et une méthode de travail a été trouvée. Désormais, et dès la mi-avril, patrons et syndicat se rencontreront en amont des négociations obligatoires pour échanger et trouver des solutions en commun.
RRB 01/04/2022
Au lendemain de l'appel à la grève générale lancé par l'USTKE, le mouvement s'est traduit sur le terrain par la mobilisation 3 à 400 personnes. Elles se sont rassemblées devant le siège du Medef à Nouméa et celui de la CPME et de la FINC à Ducos pour réclamer des revalorisations de salaires. Le syndicat dénonce l'échec des négociations de branches. Des délégations syndicales ont été reçues par les organisations patronales.
L'USTKE se mobilise pour une revalorisation salariale (TV NC La 1ère 01/04/2022)
Les militants de l'USTKE mobilisés à Nouméa devant les organisations patronales. A l'ordre du jour, en pleine négociation salariale : une revalorisation estimée insuffisante et la lutte pour un meilleur pouvoir d'achat. L'objectif, pour le syndicat, était de rencontrer les organisations patronales afin d'échanger sur les revendications.
Ils ont prévenu. Dès 5 heures ce vendredi matin, les militants de l'USTKE se sont mobilisés en nombre devant les bureaux d'entités bien précises : l'antenne du Medef rebaptisée Mouvement des entreprises de Nouvelle-Calédonie, au quai Ferry. Et à Ducos, la Confédération des petites et moyennes entreprises qui cohabite avec la Fédération des industries de Nouvelle-Calédonie. Sur place, en tout, 400 à 500 personnes. Une démonstration de force suite à des négociations collectives annuelles que la centrale a trouvées loin du compte. "C'est pour bien montrer, au niveau des fédérations patronales, qu'on ne va plus accepter ce genre de propositions. Eux qui parlent toujours de discussions, de négociations (…), il faut qu'ils arrivent avec des propositions décentes". Thierry Le Berre, vice-président de l'USTKE.
Le coût de la vie qui a augmenté ces dernières années, auquel s'ajoutent les effets de la crise Covid : face à ce double constat, l'USTKE estime que les conventions collectives ont été en deçà de ce qui aurait dû être la norme pour permettre un pouvoir d'achat suivant l'inflation. "C'est des conventions qui datent depuis vingt - trente ans. On a revalorisé les salaires au travers de la valeur-point, dans un avenant. Sauf qu'au niveau de la grille en elle-même, ça n'a pas évolué depuis des décennies". Léonard Wahmetu, secrétaire général de la Fédération des mines et de la métallurgie. "Il y a deux catégories d'entreprises : les petites, et les moyennes. Les petites sont étranglées financièrement. C'est vrai que d'autres n'ont pas fait d'efforts. Pour nous, c'était important de leur faire passer le message". Mélanie Atapo, première vice-présidente de l'USTKE
Le Medef répond :
Des efforts, le Medef estime en avoir faits. Par la voie d'un communiqué diffusé en fin de journée, il rappelle sa volonté de voir diminuer "les charges extrêmement lourdes pesant sur le travail en Nouvelle-Calédonie". Il insiste aussi sur l'explosion des coûts d'importation : "La situation exceptionnelle que nous traversons depuis deux ans maintenant ne pourra pas être réglée par les entreprises seules, actuellement confrontées à une explosion de leurs coûts d’approvisionnement, d’assurances et des hausses récentes des coûts de l’énergie et du carburant, et confrontées pour la plupart à la nécessité de réduire leurs effectifs."
Le mouvement demande par ailleurs à participer à une cellule de crise concernant l’inflation, "avec pour objectif de trouver collectivement les moyens d’amortir le choc inflationniste que subissent actuellement les entreprises et les consommateurs calédoniens." Ce sera au gouvernement d'arbitrer les souhaits, selon la marge permise par le budget du pays.
Le Mouvement des entreprises de Nouvelle-Calédonie (…) témoigne d'une situation de détresse partagée des entreprises et des salariés, et rappelle que le combat pour le maintien de l’emploi doit être une absolue priorité.
Communiqué du Medef-NC, le 1er avril.
Communiqué de presse du 01/04/2022
Le Mouvement des Entreprises de Nouvelle-Calédonie, pleinement attaché au dialogue social, témoigne d'une situation de détresse partagée des entreprises et des salariés, et rappelle que le combat pour le maintien de l’emploi doit être une absolue priorité.
[Selon les chiffres de l’ISEE, au 3ème trimestre 2021, 10 780 entreprises du secteur privé déclarent des salariés auprès de la CAFAT, soit une baisse de 6,5 % sur trois mois (données CVS). Sur la même période, les créations d’entreprises reculent de 19 % (données CVS). L’indicateur du climat des affaires (ICA), qui synthétise l’opinion des chefs d’entreprises interrogés sur la conjoncture, chute de près de 10 points entre le 2ème et le 3ème trimestre et s’établit à 89,4.]