COMMUNIQUÉ DU MEDEF NOUVELLE-CALÉDONIE

Nouméa, le 26 Décembre 2024

Le Medef NC dénonce avec la plus grande fermeté les accusations proférées par certains élus et représentations politiques à l’encontre des chefs d’entreprises calédoniens.
Les émeutes du 13 mai, à l’origine de la destruction massive de notre économie et de nos entreprises, ont touché tous les Calédoniens, sans exception, quelles que soient leurs origines, leurs fonctions, leurs religions ou encore leurs sensibilités.
Personne n’a été épargné.
Il est honteux d’entendre dire que certaines entreprises auraient été brûlées par leurs propres propriétaires, de la même manière qu’il est absolument consternant d’accuser les entreprises calédoniennes de discrimination envers certaines communautés, à l’heure où tous les efforts de celles-ci sont tournés vers la sauvegarde de l’emploi et de leur survie pure et simple.
L’entreprise est et restera l’un des piliers du vivre ensemble et de la réduction des inégalités en Nouvelle-Calédonie.
Face à ces déclarations infondées et diffamatoires, le Medef NC se réserve le droit de saisir la justice.
Le MEDEF Nouvelle-Calédonie

 

 

 

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Communiqué du MEDEF-NC qui dénonce les accusations proférées par certains élus et représentations politiques à l’encontre des chefs d’entreprises calédoniens. | MEDEF NC

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Dans les Médias : 

  • LE BILLET D'HUMEUR : UN MENSONGE 1000 FOIS RÉPÉTÉ NE FAIT PAS UNE VÉRITÉ! | 27/12 Radio Rythme Bleu
  • Clash au Congrès - 27/12 La Voix du Caillou Un grave incident est survenu hier en séance du Congrès à la suite de déclarations de Marie-Line Sakilia qui siège hors-groupe au perchoir. Alors que le sujet était la TGC et sa réforme, Marie-Line Sakilia a eu des paroles pour le moins choquantes. Elle a accusé la société Le Froid, partie en fumée aux premiers jours de l’insurrection, d’avoir incendié elle-même ses locaux. «Toutes les entreprises, soi-disant que c’est la CCAT ou que ce sont les indépendantistes qui les ont brûlées, a prétendu l’élue. Mais comment se fait-il que le feu a pris ? Étaient-ils à jour de la révision de leur système d’incendie ? », a-t-elle lancé. Alors que le conflit s’envenimait dans l’hémicycle, la présidente du Congrès Veylma Falaeo est immédiatement intervenue pour demander une suspension de séance. Mais les propos de l’élue indépendantiste n’ont pas manqué de faire réagir sur la toile. A commencer par Mimsy Daly, présidente du Medef NC. « Après avoir été taxées de racisme sans aucun fondement valable, les entreprises sont maintenant accusées d’avoir orchestré elles-mêmes leurs propres destructions, dans l’enceinte du Congrès de la Nouvelle Calédonie. C’est tout simplement scandaleux », écrit la chef de l’organisation patronale en rappelant que les entreprises sont « les victimes de ces méfaits » et non les coupables. « Les responsables sont ceux qui ont pillé, détruit et brûlé, et ils seront désignés par la justice, et elle seulement », rappelle-t-elle. (...)
  • Radio cocotier : Cet après-midi, une session houleuse au Congrès a vu émerger des accusations sérieuses formulées par une élue qui a mis en doute les circonstances des incendies ayant ravagé de nombreuses entreprises lors des émeutes du 13 mai. Ces propos, ont rapidement déstabilisé les débats, provoquant des réactions vives...
  • Nouméa Post - RIFIFI AU CONGRÈS : PROPOS HONTEUX, TGC RENVOYÉE, ET BOYCOTT DES INDÉPENDANTISTES La France est dans ses incertitudes institutionnelles, et la Nouvelle-Calédonie y plonge en plein. Hier, la séance, agitée, a été marquée par des propos qualifiés de honteux tenus par Madame Sakilia, une longue suspension de séance et finalement, le boycott des réunions par les indépendantistes jusqu’à la désignation du nouveau gouvernement, et le renvoi de la modification de la TGC à une date indéterminée. Ce sont d’abord les propos de l’élue indépendantiste qui ont mis le feu aux poudres. Celle-ci estime rien moins que des chefs d’entreprises aient mis eux-mêmes le feu à leurs installations le 13 mai, pour des intérêts financiers ! “Honteux”, proteste le Medef. Cela vaudra à l’élue … un rappel à l’ordre. Quant à la TGC, après 5 heures de discussion et en l’absence des indépendantistes, le Congrès a décidé de reporter l’examen du texte à une date ultérieure. Ce qui suscite quelques interrogations pour ce qui concerne la décision de l’État de verser ou non l’aide de 27,5 milliards, conditionnée par l’acception de quelques efforts de la Calédonie en contrepartie.
  • Les propos ''honteux'' de Marie-Line Sakilia | 26/12 Radio Rythme Bleu Des propos qui ont provoqué un tollé, et contraint la présidente Veylma Falaéo à suspendre la séance. Mais ces propos ont aussi provoqué une vive réaction du Medef qui estime qu’il est honteux d’entendre dire que certaines entreprises auraient été brulées par leurs propres propriétaires. Ecoutez la présidente du Medef, Mimsy Daly. (...) Et dans un communiqué, le MEDEF souligne qu'il est de plus consternant d'accuser les entreprises calédoniennes de discrimination envers certaines communautés ( NDLR: comme l'a fait la semaine dernière le bureau politique du FLNKS )  à l'heure où tous les efforts de celles-ci sont tournés vers la sauvegarde de l'emploi et de leur survie pure et simple. (...)
  • Altercation, suspension de séance, départ des indépendantistes… Récit d’une journée tendue au Congrès | Les Nouvelles Calédoniennes (...) Le Medef dénonce des propos "honteux" : Quelques heures après la fin de la séance publique, le Medef a réagi aux propos de Marie-Line Sakilia. Dans un communiqué envoyé peu avant 16 heures, ce jeudi, l’organisation patronale dénonce "avec la plus grande fermeté les accusations proférées par certains élus et représentations politiques à l’encontre des chefs d’entreprises calédoniens". "Il est honteux d’entendre dire que certaines entreprises auraient été brûlées par leurs propres propriétaires, de la même manière qu’il est absolument consternant d’accuser les entreprises calédoniennes de discrimination envers certaines communautés, à l’heure où tous les efforts de celles-ci sont tournés vers la sauvegarde de l’emploi et de leur survie pure et simple." Une référence aux accusations formulées par le FLNKS concernant un éventuel "esprit revanchard" anti-kanak qui se serait installé dans les entreprises calédoniennes depuis les émeutes du 13 mai. "L’entreprise est et restera l’un des piliers du vivre ensemble et de la réduction des inégalités en Nouvelle-Calédonie", affirme le Medef, avant de préciser que, face à ces différents propos, le syndicat se réserve le droit de "saisir la justice".

MEDEF NC