Comment ça marche ?

Retrouvez dans ce Dossier, les podcasts, déclarations officielles du MEDEF Nouvelle-Calédonie et citations médiatiques, au 1er trimestre trimestre 2025

 

Pour l'historique consultez ces dossiers :

Le MEDEF-NC dans les medias au 2ème trimestre 2025
Le MEDEF-NC dans les medias au 1er trimestre 2025
Le MEDEF-NC dans les medias au 4ème trimestre 2024
Le MEDEF-NC dans les medias au 3ème trimestre 2024
Le MEDEF-NC dans les medias au 2nd trimestre 2024
Le MEDEF-NC dans les medias au 1er trimestre 2024

Réactions du Medef-NC et de l'U2P au rejet par le FLNKS de l'accord de Bougival - 14/08/2025

2025-08-14 Radio La 1ère Journal de 6H. Réactions du Medef-NC et U2P au rejet par le FLNKS de l'accord de Bougival.

PODCAST : https://youtube.com/shorts/f-giUpB7pUw?feature=shared

11/08/2025 Courrier de la FEDOM, co-signé par le Medef-NC au gouvernement central sur le Budget 2026 de l'Etat

La FEDOM alerte sur les réductions de voilure pour l’Outre-mer - La Voix du Caillou 13/08/2025

Dans un courrier adressé le 8 août au Premier ministre et au ministre des Outre-mer, la Fédération des entreprises des Outre-mer (FEDOM) exprime sa vive inquiétude quant aux orientations budgétaires nationales envisagées pour 2026. Cosigné par 42 représentants économiques ultramarins, dont plusieurs Calédoniens — David Guyenne (CCI-NC), Elizabeth Rivière (CMA-NC), Mimsy Daly (Medef-NC), Jean-Christophe Niautou (CAP-NC) ou encore Eric Lafitte et Yannick Briffa (FCBTP) — le courrier adressé aux représentants de l’État dénonce des coupes jugées « inédites » et « inacceptables », qui menacent directement l’emploi, la compétitivité et la capacité d’investissement des entreprises en Outre-mer.

Le cri d'alerte des patrons | La Dépêche de Nouméa 12/08/2025

Le gouvernement prépare, pour le budget 2026, des coupes d’une ampleur inédite dans les dispositifs de soutien aux entreprises d’Outre-mer. Un front uni d’organisations patronales – de la Guadeloupe à la Polynésie – dénonce une atteinte directe à la compétitivité, à l’investissement et à l’emploi. C’est ce qui découle d’une lettre de la FEDOM (Fédération des entreprises ultramarines), adressée le 8 août dernier à Manuel Valls. (...)

Budget 2026 : le monde économique ultramarin interpelle Manuel Valls et François Bayrou | Les Nouvelles Calédoniennes 11/08/2025

Dans une lettre envoyée au ministre des Outre-mer et au Premier ministre, la Fedom, Fédération des entreprises ultramarines, met en cause les orientations budgétaires envisagées par le gouvernement central pour 2026. Le monde économique critique des coupes "inédites" et "inacceptables", qui auront des conséquences sur l’emploi, les prix et l’activité de ces territoires. (…) Pour la Nouvelle-Calédonie, les signataires du courrier de la FEDOM sont : David Guyenne, président de la CCI-NC, Elizabeth Rivière, présidente de la CMA-NC, Mimsy Daly, présidente du Medef-NC, Jean-Christophe Niautou, président de la CAP-NC, Éric Lafitte et Yannick Briffa, co-présidents de la FCBTP.

Lire l'article intégral  : Budget 2026 : le monde économique ultramarin interpelle Manuel Valls et François Bayrou | Les Nouvelles Calédoniennes

 

06/08/2025 - Débat entre Entrepreneurs et représentant politiques au Congrès sur l'Accord de Bougival à l'UNC organisé par la CAP, la CCI, la CMA, le MEDEF-NC et l’U2P

Le journal de 06h30- NC La 1ère. 11/08/2025

Interview de la Présidente du Medef-NC

 

 

 

PressReader.com - L’accord de Bougival sur la Nouvelle-Calédonie en suspens - La Tribune Du Dimanche 10/08/2025

(...) Au ministère, « on souhaite prolonger le dialogue avec l’ensemble des partenaires, mais ça ne veut pas dire réécrire le texte » La société civile néo-calédonienne a elle aussi réagi. La très influente Église protestante de Kanaky Nouvelle-Calédonie, proche des indépendantistes, a écrit à Manuel Valls pour lui faire part de sa déception vis-à-vis de l’accord de Bougival. Sur le plan économique, en revanche, le Medef s’est dit préoccupé. « Les événements des dernières semaines nous inquiètent car la relance sociale et la stabilité sont des fondements absolument nécessaires », a déclaré la cheffe de file du syndicat au niveau local, Mimsy Daly, dans des propos rapportés par la chaîne de télévision Nouvelle-Calédonie la 1re. La semaine dernière, la mission interministérielle de reconstruction a commencé ses travaux dans l’archipel. Elle a pour but d’agir sur le volet social et est conduite par Claire Durrieu, énarque et ancienne sous-préfète de Guyane. Car du secteur du bâtiment à celui de la métallurgie en passant par le nickel, la situation économique de la Nouvelle-Calédonie reste difficile. Manuel Valls, de son côté, n’écarte pas la possibilité d’un quatrième voyage sur place. (...)

 

Bougival : une réunion commune d’explication - La Voix du Caillou 08/08/2025

A l’initiative du monde économique, les signataires de l’accord de Bougival ont participé à une réunion commune à l’Université. Pour « expliquer et défendre » l’accord, ensemble.
Beaucoup réclament que les signataires, ceux qui n’ont pas renié leur signature, tiennent ensemble des réunions publiques. C’est chose faite. Autour des présidents ou de leurs représentants (CCI), des fédérations patronales et des chambres consulaires, avaient pris place : Sonia Backes, Nicolas Metzdorf, Gil Brial pour les Loyalistes, Virginie Ruffenach pour le Rassemblement, Philippe Dunoyer pour Calédonie ensemble et Jean-Pierre Djaïwé pour l’UNI-Palika. Milakulo Tukumuli de l’Éveil océanien, qui avait confirmé sa présence, n’a pu se libérer au dernier moment.

C’est bien sûr le thème de l’économie qui a suscité l’intérêt des quelque 250 personnes qui s’étaient déplacées. Sur ce point, il a été rappelé quelques fondamentaux, notamment le fait qu’il ne peut y avoir de reconstruction et de relance, non seulement sans l’aide de la France et le fait que la Nouvelle-Calédonie prenne des initiatives sociales et économiques, mais surtout sans accord politique. Devant l’ampleur du chantier social et économique, des réformes que la Calédonie met en œuvre et de la nécessaire refondation de notre économie, les membres des délégations ont appelé au soutien du monde économique.

Et le FLNKS ?
Beaucoup de questions ont concerné l’attitude de refus du FLNKS. Et certains des chefs d’entreprise présents ont semblé douter du succès de Bougival, dès lors que l’UC-FLNKS s’y opposait. Jean-Pierre Djaïwé a posé la question crument. « Est-ce que le FLNKS souhaite vraiment que l’on parvienne à un accord ? », s’est-il demandé. Le porte-parole de l’UNI-Palika a estimé que le FLNKS pouvait encore saisir une opportunité. « Nous nous sommes engagés lors de notre signature à venir présenter le projet et à le défendre en l’état », a-t-il déclaré. « Eux le rejettent en disant que l’accord n’est pas complet et qu’il y a des précisions à apporter. Le ministre nous a invités à nous joindre au comité de rédaction qui va se mettre en place d’ici la deuxième quinzaine d’août. Et bien qu’ils viennent, et je les invite à venir à ce comité parce que c’est là que l’on peut préciser un certain nombre de choses ». Et pour le signataire de l’UNI-Palika, « on verra à ce moment-là la réelle volonté du FLNKS d’obtenir un accord ou pas ». Le même Jean-Pierre Djaïwé a confirmé la tenue de réunions communes d’explication de Bougival, à l’issue de la tournée que mènent les uns et les autres auprès de leurs militants.

Nicolas Vignoles

 

Le journal de 06h30- Nouvelle-Calédonie à (ré)écouter sur Nouvelle-Calédonie la 1ère. 08/08/2025

Interview de la Présidente du Medef-NC et Président de la CAP à propos du Débat entre entrepreneurs et élus politiques à l'UNC ce Mercredi 06/08/2025. PODCAST Youtube : https://youtube.com/shorts/M6Yd21jA_pI?feature=share

 

[ÉDITO] « Un Bougival de l’économie ? » – DNC.NC 08/08/2025

 

Bougival : les patrons tapent du poing sur la table ! | La Dépêche de Nouméa 08/08/2025

Pour la première fois, politiques et patrons ont dialogué frontalement sur l’avenir économique de la Nouvelle-Calédonie. Un échange franc, parfois tendu, mais porteur d’espoir pour une relance concertée.

(...) Une demande unanime : associer les entreprises à la relance. Au sortir du débat, une idée s’est imposée comme une évidence partagée : les entreprises doivent être partie prenante du nouveau pacte économique. Les représentants patronaux l’ont martelé : on ne peut dessiner l’avenir de la Nouvelle-Calédonie sans ceux qui en font la richesse. Le MEDEF-NC et ses partenaires l’ont affirmé haut et fort : ils veulent un siège à la table des négociations, non plus un strapontin. Et ils appellent à une accélération de la mise en œuvre, avec des décisions économiques fortes avant la fin 2025. Pas de nouvelle fiscalité sans visibilité, pas de réforme de l’emploi sans formation adaptée, pas de stabilité sans sécurité juridique. La mission confiée à Claire Durrieu, représentante de l’État, pour bâtir les volets économiques de l’accord, est très attendue. Mais les acteurs économiques préviennent : ce travail ne peut se faire sans eux. Une relance robuste, cohérente et crédible ne peut naître que d’un projet co-construit, fondé sur la confiance, la transparence et des résultats tangibles. Le véritable enseignement de cette rencontre, au-delà des mots, c’est qu’un espace de dialogue est encore possible. Et s’il est fragile, il mérite d’être consolidé. Les patrons calédoniens ont tendu la main. La balle est désormais dans le camp politique.

Le monde économique calédonien s'inquiète de la fragilité de l'accord de Bougival NC La 1ère 08/08/2025

Le Medef organisait cette semaine, en présence des chambres consulaires et de plusieurs signataires de l'accord de Bougival, un débat destiné aux entrepreneurs de tous secteurs. L’occasion d'alerter sur des perspectives inquiétantes. 

La pédagogie de l’accord de Bougival se poursuit. Auprès des militants et sympathisants, auprès de la population en général, mais aussi auprès du monde économique : ce mercredi soir, le Medef organisait à l'UNC un débat entre les signataires du compromis, les milieux d'affaires et les chambres consulaires.

Des acteurs économiques inquiets au regard des incertitudes concernant l'accord. "Ce qu'on attend, c'est une stabilisation politique en Nouvelle-Calédonie. On ne va pas se leurrer, les évènements des dernières semaines et les altermoiements de l'Union calédonienne nous inquiètent car la relance sociale et la stabilité sont des fondements absolument nécessaires", a ainsi souligné Mimsy Daly, à la tête du Medef

Perspectives inquiétantes. 

Les Loyalistes, le Rassemblement, Calédonie Ensemble et le Palika ont eu l'occasion de répondre pendant deux heures aux interrogations des participants, qui ont besoin de perspectives claires et rapides. 

"Le secteur du BTP risque d'effacer 2000 emplois d'ici la fin de l'année, il y a aussi des risques très certains pour celui de la métallurgie et du nickel. L'équation est insolvable d'un point de vue économique et social, on ne se relèvera pas avant très longtemps de ces destructions massives d'emplois", a pointé Mimsy Daly, réclamant "de la visibilité pour pouvoir répondre aux urgences"

Pour aller plus loin et plus rapidement sur les réformes à mener d’urgence, les acteurs économiques et politiques se sont tous prononcés lors du débat de mercredi en faveur d’un "Bougival de l’économie".  

 

Débat autour de l’Accord de Bougival : une parole politique attendue, un dialogue économique engagé | MEDEF NC

COMMUNIQUE DU MEDEF-NC Nouméa, le 7 août 2025

À l’initiative des acteurs économiques calédoniens – la CAP, la CCI, la CMA, le MEDEF-NC et l’U2P – un débat s’est tenu ce mercredi 6 août à 17h30 dans l’amphithéâtre 400 de l’Université de la Nouvelle-Calédonie. Rassemblant près de 350 entrepreneurs, ce temps d’échange a permis aux représentants des principales forces politiques signataires de l’Accord de Bougival d’exposer conjointement leur vision, et d’apporter des éclairages directs sur les enjeux économiques à venir.

Ce dialogue attendu et respectueux s’inscrivait dans une volonté claire : favoriser une lecture plurielle, dépassionnée et responsable des engagements pris, en donnant la parole aux élus devant un public d’entrepreneurs soucieux de l’avenir du territoire.

Cette réunion publique, première en son genre a été saluée. Les organisateurs ont été unanimement remerciés par les représentant politiques d’avoir rendu possible cette prise de parole collective. Ils ont rappelé combien ces occasions de dialogue public entre signataires sont rares — seulement la deuxième depuis la signature de l’Accord.

Les échanges ont été riches et sans détours. Les questions du public ont porté sur :

  • La sécurité juridique et institutionnelle pour les entreprises ;
  • Les mécanismes concrets de relance économique ;
  • L’emploi et la formation.

Ils ont également rappelé l’importance de la suite de l’Accord de Bougival avec en particulier la mission confiée à Mme Claire Durrieu, représentante de l’État, pour l’élaboration des volets économiques.

Pour les organisateurs, ce débat confirme une attente forte : les entreprises veulent être écoutées et associées à l’écriture du futur cadre économique. Les espoirs sont présents, mais aussi les inquiétudes. Cette lucidité, exprimée dans la salle, appelle à des réponses claires, des engagements fermes et une mise en œuvre rapide de mesures concrètes.

Le Medef-NC retient également un fait marquant : la satisfaction des participants de voir l’ensemble des responsables politiques réunis dans une même salle, dans un même élan d’explication et d’engagement. C’est un signe que le dialogue est encore possible et qu’il peut se construire sur des bases saines, à condition d’y inclure durablement les acteurs économiques.

Le Medef-NC, aux côtés de ses partenaires, s’inscrira pleinement dans la suite de ces discussions. Nous serons présents pour contribuer à un projet de relance économique robuste, cohérent et partagé, au service de tous les Calédoniens.

 

Les intervenants (de gauche à droite) : 

  • Sonia Backès, Représentante Les Loyalistes
  • Jean Philippe Bougault, Représentant de la CAP
  • Nicolas Metzdorf, Député
  • Elisabeth Rivière, Présidente de la CMA
  • Gil Brial, Représentant des Loyalistes.
  • Mimsy Daly, Présidente du Medef-NC
  • Jean-Pierre Djaïwé, Président du groupe UNI au Congrès, élu Palika.
  • Virginie Ruffenach, Cheffe du groupe Rassemblement-LR.
  • Jean-Louis Laval, Président de l’U2P
  • Philippe Dunoyer, Représentant de Calédonie Ensemble.
  • Stéphane Yoteau, Vice- Président de la CCI

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Thibaut MARTELIN Nommé Président de Prony Resources Nouvelle-Calédonie

Usine du Sud : Martelin débarque pour éviter le naufrage | 31/07/2025 La Dépêche de Nouméa

L’usine métallurgique du Sud change de capitaine. Thibaut Martelin vient d’être nommé président de Prony Resources Nouvelle-Calédonie, dans un contexte de fortes tensions industrielles, financières et politiques. Ce choix marque une volonté de continuité, mais surtout de redressement pour ce site stratégique de la filière nickel.

Un profil d’ingénieur chevronné pour affronter la tempête

C’est un homme du sérail minier qui prend la barre de Prony Resources. Ingénieur de formation, Thibaut Martelin a roulé sa bosse sur plusieurs continents, de la Guyane à l’Afrique de l’Ouest, en passant par la Nouvelle-Calédonie. Après une ascension au sein du groupe Ballande, il a dirigé les mines de la Tontouta avant de devenir directeur général du groupe.

Installé sur le Caillou depuis le début des années 2010, il s’est imposé comme une figure incontournable du secteur industriel local, cumulant les fonctions de dirigeant d’entreprise et de vice-président du Medef-NC. Plus récemment, il a rejoint Promosud, le bras armé économique de la province Sud, fortement impliqué dans le capital de l’usine via la SPMSC. (...) Lire La suite : Usine du Sud : Martelin débarque pour éviter le naufrage | La Dépêche de Nouméa

Le Journal du Dimanche 20/07/2025 Dans son Interview Patrick Martin, Président du MEDEF salue l'action du Medef Nouvelle-Calédonie

Budget : le patron du Medef alerte sur le décrochage de l'économie française JDD 20/07/2025

 

Le JDD du 20/07/2025 : Un accord vient d’être remis sur les rails pour résoudre la crise en Nouvelle-Calédonie. Le temps de la reconstruction est-il venu ?

Patrick Martin, Président du MEDEF :

"La présidente du Medef en Nouvelle-Calédonie Mimsy Daly a beaucoup contribué à l’apaisement entre les deux camps le sujet crucial maintenant c’est le redémarrage de la production, il faut créer de la richesse rapidement pour réduire un taux de chômage qui a explosé. Nous appelons les entrepreneurs, néo-calédoniens à ne plus quitter l’archipel, ils sont courageux, il faut les soutenir et par ailleurs nous travaillons à faire revenir un certain nombre d’investissement vers la Nouvelle-Calédonie. L’État a des projets très important, notamment en ce qui concerne les infrastructures portuaires que nous encourageons fortement. N’oublions pas que la Nouvelle-Calédonie c’est la France".

Propos recueillis par Antonin André.

Jeudi De l'économie RRB du 17/07/2025 - Retour sur le Collège Économique et Sociétal qui s'est tenu au Sommet pour la NC à Paris

Jeudi De l'économie RRB du 17/07/2025 - Retour sur le Collège Économique et Sociétal qui s'est tenu au Sommet pour la NC à Paris - Avant de signer un projet d’accord à Bougival, les partenaires s’étaient retrouvés avec les acteurs sociaux-économiques pour ce qu’on a appelé un collège économique et sociétal. Qu’en est-il ressorti ? Nous en avons parlé ce midi, dans les Jeudis de l’Economie Radio Rythme Bleu. Jean-François Bodin était en compagnie de la présidente du Medef, Mimsy Daly, du vice-président de la branche BTP pour la CPME Christophe Dauthieux, et de Thomas Sevêtre, président du SEM, le syndicat des exploitants et exportateurs de minerai.

 

 

Caledonia TV - 16/07/2025 - Accord Bougival : le monde économique veut des garanties

Caledonia TV - 16/07/2025 - Accord Bougival : le monde économique veut des garanties - Mimsy DALY, Présidente du Medef-NC interviewée.

 

 

Accord de Bougival - Les réactions du monde économique calédonien

Accord Nouvelle-Calédonie : le monde économique souhaite désormais "transformer les paroles en actes" NC La 1ère 13/07/2025

Les représentants du monde économique calédonien saluent la démarche du chef de l'État de les avoir intégrés aux discussions sur le projet de société calédonien. L'accord signé ce samedi 12 juillet à Bougival entre les élus comprend plusieurs pistes de travail, qui seront approfondies dans les prochaines semaines. Ils ont contribué à l’accord signé ce samedi 12 juillet à Bougival. Les acteurs économiques et sociaux ont été consultés pour élaborer le paragraphe consacré au “projet de société et de modèle économique”. Seulement quelques lignes dans le document final. Mais elles posent le cadre qui devra être travaillé dans les prochaines semaines sous l’égide de l’État. 

Premières pistes de reconstructions : “Notre souhait c’était de peser justement dans la rédaction d’un volet économique et social robuste au sein de cet accord, rappelle Mimsy Daly, présidente du Medef NC. Malheureusement, le temps n’a pas permis de développer autant que nous le voulions ces questions. On retrouve toutefois les grandes lignes que nous attendions et des pistes de reconstruction.” 

Sur le papier, l’accord annonce un “pacte de refondation économique et financière”, qui sera approfondi au cours des prochains travaux. Il s’appuiera sur :

  • L’assainissement des finances publiques locales et le redressement des comptes sociaux ;
  • Un retour à la soutenabilité de la dette publique calédonienne ;
  • La relance et la diversification économique ciblées sur les objectifs stratégiques tels que l’autosuffisance alimentaire et énergétique, le tourisme,  l’économie, l’économie sociale et solidaire et l’économie des tribus.

En complément, un “plan stratégique pour la filière nickel” doit être élaboré. Il pose déjà quatre principes :

1. La relance d'une activité de transformation du nickel en province Nord,

2. La sécurisation de l'accès à la ressource et le renforcement de l'acceptabilité de l'exploitation minière pour les populations,

3. La facilitation de l'export de minerai dans le cadre d'une doctrine renouvelée,

4. L'accompagnement technique et financier de l'État et la transformation du système énergétique.

Pour finir, un contrat d’engagement sera mis en place pour soutenir les politiques publiques prioritaires, qui placera la jeunesse comme une “priorité absolue”.

“Je pense que le nickel doit être un peu l’appui pour créer, pourquoi pas, un fonds souverain qui permettra d’appuyer le développement des autres secteurs”, commente Christophe Dothieux, vice-président de la confédération des petites et moyennes entreprises (CGPME). Selon lui, ces paroles posées sur le papier dans le cadre du sommet parisien doivent maintenant être “transformées en actes” afin “de donner des perspectives à la Nouvelle-Calédonie sur les quinze à vingt prochaines années”.

L'USTKE fait part de sa "stupéfaction"

Dans leur ensemble, les représentants des entreprises semblent se féliciter de cet accord signé à Bougival entre indépendantiste et non-indépendantiste. Du côté des syndicats de salariés, seul l’USTKE a répondu à NC La 1ère au lendemain de la signature. Pas d’interview, mais une réaction de sa présidente qui fait part de sa “stupéfaction”. "Signer un accord politique n’était pas nécessaire pour relancer l’économie”, indique Mélanie Atapo. Elle attend de rencontrer les signataires avant de s’exprimer publiquement. Le syndicat n'avait pas souhaité participer au sommet à Paris, demandant à préparer des réformes économiques et sociales "ici", en Nouvelle-Calédonie.

 

En Nouvelle-Calédonie, l’accord sur l’avenir institutionnel de l’archipel suscite de premières réactions contrastées Le Monde 13/07/2025

Du côté du patronat, la présidente du Medef calédonien, Mimsy Daly, interrogée par l’Agence France-Presse (AFP), se montre prudente. Sans commenter le fond, elle estime que l’accord « apporte au moins un espoir de paix et de stabilité », conditions nécessaires à une relance économique. Elle juge cependant le volet économique « un peu léger », même si les axes promus par l’organisation patronale – diversification, relance du nickel, maîtrise des dépenses publiques – y sont repris. Mme Daly se dit « attentive à la capacité réelle de l’Etat à accompagner financièrement la relance », un peu plus d’un an après les violentes manifestations qui ont fait 14 morts et mis l’économie locale à terre. (…)

 

En Nouvelle-Calédonie, le projet d'accord est loin de faire consensus NC La 1ère - 13/07/2025

Signé dans la nuit de vendredi à samedi, le texte prévoit notamment la création d'un "État de la Nouvelle-Calédonie" au sein de la République, une "nationalité calédonienne" et un partage différencié de compétences. Une formulation que certains dans l'archipel jugent porteuse d'ambiguïtés, voire de divisions. Du côté du patronat, la présidente du Medef calédonien, Mimsy Daly, se montre ainsi prudente.

Sans commenter le fond, elle souligne que l'accord "apporte au moins un espoir de paix et de stabilité", conditions nécessaires à une relance économique, explique-t-elle à l'AFP. 

Elle regrette cependant un volet économique "un peu léger", même si les axes promus par l'organisation patronale - diversification, relance du nickel, maîtrise des dépenses publiques - y sont repris.

Mme Daly se dit "attentive à la capacité réelle de l'État à accompagner financièrement la relance", un peu plus d'un an après les violentes manifestations qui ont fait 14 morts et mis l'économie du Caillou à terre. (...).

Discrimination, stigmatisation et fractures sociales : réalités et responsabilités – Le MEDEF-NC s’exprime sur NC La 1ère

Le mercredi 10 juillet 2025, le Vice-Président du MEDEF-NC, Bertrand COURTE, est intervenu en direct sur les ondes de Radio NC La 1ère, dans l’émission Ligne Directe, animée par Amélia. Il était aux côtés de Bernard ROBINEAU, représentant de la Ligue des Droits de l’Homme, pour débattre d’un sujet sensible :
« Discrimination, stigmatisation et fractures sociales : quelles réalités et quelles responsabilités ? »

Dans un climat marqué par les conséquences des violences de mai 2024, cette émission a permis d’apporter un éclairage argumenté et factuel sur les difficultés d’accès à l’emploi, les perceptions de discrimination et la réalité du terrain.

Une tension sur le marché de l’emploi bien réelle

Bertrand COURTE a rappelé que les entreprises ne peuvent pas répondre à la totalité de la demande : actuellement, on compte 10 000 demandes d’emploi pour seulement 1 000 offres. Dans ce contexte, les recrutements se font nécessairement par sélection, sans lien avec des discriminations supposées.

Il a également souligné une difficulté majeure : une part importante des demandeurs d’emploi est peu qualifiée, voire en situation d’illettrisme, ce qui complique leur insertion dans un tissu économique fragilisé. Pour autant, il n’existe aujourd’hui aucune donnée ou signalement concret de discrimination à l’embauche recensé par la Ligue des Droits de l’Homme.

Des licenciements économiques encadrés

Suite aux fermetures d’entreprises impactées par les exactions, de nombreux licenciements ont été effectués pour motif économique, conformément au Code du travail. Ces procédures sont strictement encadrées par la réglementation. Les intervenants ont insisté sur l’importance pour les salariés de solliciter leurs syndicats ou les services de la Direction du Travail et de l’Emploi, qui sont là pour accompagner et défendre les droits de chacun.

Adapter la loi sur l’emploi local

Le débat a également permis de mettre en lumière certaines limites de la loi sur l’emploi local. Si l’objectif de cette loi est louable, elle pourrait être révisée pour faciliter le retour des diplômés calédoniens en permettant à leurs conjoints d’accéder à l’emploi sur le territoire. Sans cette souplesse, beaucoup de compétences continueront de quitter la Nouvelle-Calédonie, aggravant la pénurie actuelle de profils qualifiés.

Le rôle essentiel de la formation

Face à cette réalité, la relance économique passe nécessairement par la formation, l’apprentissage et l’alternance. C’est sur ces leviers que travaille activement le MEDEF-NC, en collaboration avec les partenaires sociaux et les institutions du territoire. La reconversion professionnelle doit devenir une priorité, pour permettre à chacun de retrouver une place dans un marché du travail en pleine recomposition.

Une situation préoccupante

À l’approche de la fin du dispositif « chômage partiel exactions », prévue pour fin juillet, l’inquiétude est vive. Sans mesures complémentaires ni perspective économique claire, la situation risque de se dégrader encore davantage.

Le MEDEF-NC réaffirme son engagement à accompagner les entreprises et les salariés dans cette phase critique, en appelant à une mobilisation collective autour des véritables enjeux de fond.

Sommet pour l’avenir de la Nouvelle-Calédonie : le monde économique mobilisé à l’Élysée

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DANS LES MEDIAS ET RS : 

  • L’État reprend la main sur la reconstruction calédonienne | Actu NC 09/07/2025 (...) Si la présidente du Medef a trouvé le format du collège « un peu brouillon, trop court », elle a toutefois profité de l’occasion pour exposer ses pistes d’évolution, à savoir « la nécessité de mesures d’urgence » pour sauver l’économie calédonienne, en matière d’assurance, de financement mais aussi d’investissements dans des travaux structurants. L’organisation patronale a aussi pointé du doigt « la lourdeur de nos institutions et leur coût », ainsi que « la faiblesse de nos exportations hors nickel et notamment en matière agricole », sans oublier « l’absence de contrôle de la dépense publique qui augmente alors que la population baisse ». Mimsy Dalu a aussi insisté sur la nécessité de « faire confiance au secteur privé » et de réduire le champ d’intervention des sociétés d’économie mixte (SEM), tout en prônant davantage de démocratie participative. Lucide sur l’ampleur des défis, la présidente du Medef NC a ainsi résumé dans un post : « Il faudra du temps, beaucoup de temps, pour reconstruire et gagner ensemble notre autonomie économique et financière. On ne sait pas combien de temps cela prendra. On est sûrs que cela ira plus vite si tout le monde s’y met rapidement et si la méthode est robuste. Mais il faudra prendre ce temps, car sans base économique saine et solide, notre autonomie ne sera qu’une illusion ».
  • Collège économique et social : l’État reprend-il la main ? - La Voix du Caillou 07/07/2025 - C’était la nouveauté de ce sommet sur la Nouvelle-Calédonie : la tenue concomitante de réunions de travail exclusivement consacrées à l’économie et au social. Elles se sont tenues au ministère des Outre-mer. Que faut-il en retenir ? Comme le signalait elle-même la présidente du Mouvement des entreprises de Nouvelle-Calédonie (MEDEF-NC), « un jour et demi » pour parler de la consolidation des finances publiques, du nickel, de la diversification économique et du projet de société, c’est peu ». Un juste constat, mais à l’évidence pour les participants, l’important était ailleurs, il était dans le fait de participer. Pour ce sommet, l’État avait choisi de consacrer un moment aux problématiques économiques, sociales et sociétales, qui a donc réuni les politiques, mais aussi et surtout le monde économique, syndical et la société civile. Ainsi, personne n’a été oublié, et personne ne peut dire que l’on a privilégié une question au détriment de l’autre. (...)  va être créée une mission interministérielle, confiée à Claire Durrieu, sous l’autorité du Premier ministre et rattachée au ministère des Outre-mer. « Cette mission », a souligné Manuel Valls, « sera l’interlocuteur de référence pour accompagner les transformations du territoire, en apportant une ingénierie pérenne et une expertise ciblée ». (...) C’est au sujet du nickel que les annonces ont été les plus fortes. D’abord, Manuel Valls a saisi l’assistance en déclarant : « Le retrait d’Eramet du capital de la SLN marque une rupture ». Si, depuis des années, Eramet n’investissait plus un franc dans sa filiale calédonienne, ce retrait du capital, s’il devait être confirmé, constituerait en effet la rupture du seul et dernier lien entre le nickel calédonien et la France. L’autre révolution, c’est l’annonce par Manuel Valls de la fin de la compétence provinciale sur le nickel, au profit d’une « gouvernance unifiée, à l’échelle du pays, cohérente, lisible, alignée avec les intérêts de long terme de la Nouvelle-Calédonie ». Et si l’État va accompagner cette transformation, ça ne sera pas sans contreparties. « Il appelle », a dit Manuel Valls, « des projets industriels crédibles, collectivement portés, solidement ancrés dans le tissu local, respectueux des exigences environnementales et sociales, et créateurs de valeur ajoutée pour les Calédoniens ». (...) Le monde économique et la société civile n’ont pas gâché l’occasion qui leur était donnée d’avancer leurs propositions. Le poids financier des administrations (le mille-feuille calédonien) a été mis en avant pour y dénoncer le coût des institutions ainsi que l’accroissement permanent et sans aucun contrôle de la dépense publique. Il a ainsi été proposé que le champ d’activité des sociétés d’économie mixte (SEM) soit réduit. Monde économique et société civile ont réitéré leur revendication d’être davantage pris en compte, soulignant l’importance de la « démocratie participative ». On retient de ces travaux le commentaire de Mimsy Daly, la présidente du MEDEF-NC. « Il faudra du temps, beaucoup de temps, pour reconstruire et gagner ensemble notre autonomie économique et financière », dit-elle. « On ne sait pas combien de temps cela prendra. On est sûrs que cela ira plus vite si tout le monde s’y met rapidement et si la méthode est robuste. Mais il faudra prendre ce temps, car sans base économique saine et solide, notre autonomie ne sera qu’une illusion ».
  • L'Actu en 3' - Lundi 7 Juillet 2025 - NoumeaPost - RÉUNION ÉCONOMIQUE ET SOCIÉTALE À PARIS – TOUT ÇA POUR ÇA ! Plusieurs dizaines de responsables économiques, sociaux et sociétaux calédoniens en déplacement coûteux à Paris pour participer au « sommet » de la rue Oudinot, près de deux jours d’échanges et de discussions, et un résultat qui ne fait que confirmer ce que l’on savait déjà à Nouméa. L’État a redit qu’il continuera à soutenir la Nouvelle-Calédonie pour ses comptes et sa reconstruction, et que son aide sera soumise à des conditionnalités. L’une des interlocutrices  privilégiées sera la responsable de la mission interministérielle. Quelques constats et des incantations sur l’évolution de la société calédonienne. Quant au nickel, il semble que, chat échaudé craignant l’eau froide, l’État souhaite des engagements sur les efforts consentis par les autorités calédoniennes compétentes dans ce domaine, avant de reproposer formellement le pactole du Pacte Nickel. Eramet se désengage de la SLN en y restant un peu, cette annonce n’est pas nouvelle. Pas d’information particulière sur un éventuel repreneur partiel ou total, ni sur une possible évolution concernant KNS.

    Une certitude : l’État se débat avec d’immenses difficultés budgétaires, la rumeur d’une chute du gouvernement bruisse dans les couloirs, à partir de mardi, le président de la République pourra appuyer à tout moment sur le bouton de la dissolution. Plutôt que d’attendre benoîtement « les aides de l’État », les responsables calédoniens sont invités à se mettre au travail et prendre les décisions pour lesquelles ils sont compétents.

  • Nouvelle-Calédonie : les acteurs économiques appellent à un sursaut urgent JDD 06/07/2025 TRIBUNE. Le Medef et la CCI de Nouvelle-Calédonie signent ce texte en tant que représentants du monde économique calédonien, alors que Paris se penche – de manière décisive – sur l’avenir de l’île. "Nous ne sommes ni les arbitres du destin politique ni les dépositaires de la solution institutionnelle. Par notre présence, nous témoignons d’une réalité qui ne souffre d’aucune contestation : celle d’un territoire fragilisé, d’un modèle économique à bout de souffle, et d’une population fracturée qui attend des réponses concrètes. Nous sommes au bord du précipice et les conséquences tangibles se lisent dans la vie quotidienne de milliers de Calédoniens qui font face aux plus grandes difficultés pour leurs besoins essentiels : se nourrir, se loger, se déplacer, se soigner. Le constat est sans appel : il n’y aura pas de perspectives sans relance économique. Pas de stabilité sans croissance. Pas d’avenir sans une économie solide et durable. Ce Sommet se doit d’être historique. Il doit l’être pour les politiques de notre territoire, appelés à dénouer et à dépasser les clivages. Il doit l’être pour l’État, dont la responsabilité est d’accompagner sans dominer. Il l’est pour nous tous, si nous voulons éviter que l’histoire ne se répète et vienne empiler des ruines sur des ruines. (…)"

  • Nouvelle-Calédonie : Les acteurs économiques veulent peser sur l'accord politique | Outremers360 05/07/2025 - Les représentants économiques calédoniens ont insisté vendredi sur « l'urgence absolue » d'intégrer un volet social et économique à tout accord politique, à l'issue de deux jours de discussions consacrées à la situation de la Nouvelle-Calédonie, en marge du sommet politique sur l'avenir du territoire. (...)  « Il ne s'agit pas de trouver un accord à tout prix, mais un accord qui tienne compte de la réalité économique », a plaidé auprès de l'AFP la présidente du Medef-NC Mimsy Daly. Selon elle tout accord politique devra intégrer « un volet économique et social » et des « réformes structurelles » sur la fiscalité, la dépense publique ou l'organisation institutionnelle du territoire. (...)

  • Sommet sur l’avenir institutionnel : les acteurs économiques veulent peser sur l’accord politique | Les Nouvelles Calédoniennes 05/07/2025 - Les représentants économiques ont insisté vendredi 5 juillet sur "l’urgence absolue" d’intégrer un volet social et économique et des réformes structurelles à tout accord politique, à l’issue de deux jours de discussions consacrées à la situation de la Nouvelle-Calédonie, en marge du sommet politique sur l’avenir du territoire. Mimsy Daly, présidente du Medef, juge "effrayante" la rapidité avec laquelle la situation se dégrade. "Il ne s’agit pas de trouver un accord à tout prix, mais un accord qui tienne compte de la réalité économique", a insisté auprès de l’AFP la présidente du Medef-NC Mimsy Daly. Selon elle, tout accord politique devra intégrer "un volet économique et social" et des "réformes structurelles" sur la fiscalité, la dépense publique ou l’organisation institutionnelle du territoire. "Il faut qu’on organise dès maintenant la reconstruction, mais pas seulement celle des bâtiments : celle du modèle économique, fiscal et budgétaire, a martelé David Guyenne. Et nous avons besoin de temps, beaucoup de temps pour le faire." "Un des messages partagés, c’est qu’on ne veut plus se retrouver dans la situation qui nous a menés au 13 mai. Plus jamais ça", a-t-il ajouté. À l’issue des deux jours dédiés aux thématiques économiques, sociales et sociétales, au ministère des Outre-mer, rue Oudinot, jeudi et vendredi, les deux responsables ont déclaré souhaiter "éviter les dates butoir", mais plaident pour une méthode claire, fondée sur des "objectifs atteignables", alors que le président de la République Emmanuel Macron a suggéré une période de transition de 15 à 20 ans avant un éventuel "référendum de projet" pour l’avenir institutionnel du territoire. "Il y a un enjeu, aller conquérir une autonomie économique et financière qui nous semble un préalable à une autonomie politique plus grande", a résumé Mimsy Daly.
    Et alors que 32 % des adultes n’ont aucune qualification et 18 % sont en situation d’illettrisme, des inégalités qui touchent principalement les jeunes kanak et wallisiens, "la reconstruction doit aussi inclure la jeunesse et le vivre-ensemble", souligne David Guyenne. Le sommet convoqué par Emmanuel Macron a débuté mercredi 2 juillet à Paris et se poursuit ce week-end à Bougival (Yvelines). Il réunit élus, forces politiques locales et partenaires socio-économiques, dans un contexte de crise majeure, un an après les émeutes. 

  • Le collège économique, social et sociétal - La Voix du Caillou 05/07/2025 - Manuel Valls, et sa collègue Amélie de Montchalin, ministre chargée des Comptes publics, ont co-présidé une réunion consacrée à la situation économique de la Nouvelle-Calédonie et ses perspectives. (...)

  • Sommet Nouvelle-Calédonie : les acteurs économiques pressent les politiques de "trouver un bon accord" pour sortir le territoire de la crise NC La 1ère 04/07/2025 - Contexte crucial pour l’avenir de la Nouvelle-Calédonie : Dans un cadre inédit, Emmanuel Macron a réuni à Paris le patronat, les syndicats, les chambres consulaires et la société civile pour échanger sur les enjeux socio-économiques de notre territoire. Après deux jours de discussions avec les élus calédoniens, une voix unanime se fait entendre : il est urgent de trouver une solution politique pour résoudre la crise économique. Un moment historique où, pour la première fois, les acteurs socio-économiques ont été intégrés aux négociations, permettant ainsi de poser des bases solides pour un avenir commun. Voici les mots de Mimsy Daly, présidente du MEDEF NC - Mouvement des Entreprises de Nouvelle-Calédonie : "Nous, maintenant, on attend du concret. L’urgence économique est bien là, et il est crucial de se donner des objectifs clairs pour avancer. Nous sommes prêts à contribuer activement à la reconstruction, mais il faut des engagements tangibles de la part de l'État et des parties prenantes pour nous permettre de reconstruire un socle économique et social robuste." "Il est important de souligner qu’on ne parle pas de délais indéfinis, comme une période de transition de 15 à 20 ans. Nous devons nous fixer des objectifs précis, clairs, et les atteindre pour redonner espoir à nos entreprises et à nos citoyens." Un appel clair à l'action pour les politiques, afin de ne pas répéter les erreurs du passé et de prendre des mesures concrètes pour l'avenir de la Nouvelle-Calédonie.

  • Le monde patronal préconise une « refondation » - La Voix du Caillou 04/07/2025 - Lors de la session d’ouverture du sommet à Paris, mercredi 2 juillet, la présidente du Medef-NC, Mimsy Daly, s’est exprimée au nom du monde économique. Un discours lucide, pragmatique et porteur d’une exigence : « celle d’un avenir viable » pour un territoire « profondément meurtri, mais debout ». (...) « Sans le soutien de la République, il n’y a pas de salut pour la Nouvelle-Calédonie », a martelé Emmanuel Macron. Un constat partagé par la délégation patronale, convaincue que le territoire n’a jamais été aussi dépendant de la France, que ce soit en matière d’économie, de finances publiques, de système social ou d’industrie du nickel. À l’instar du chef de l’État, la société civile est favorable à une période de stabilité et de reconstruction de quinze à vingt ans, pour permettre à la Nouvelle-Calédonie de se relever pleinement des violences et de la crise actuelle. Un redressement nécessaire au territoire avant de prendre une quelconque décision concernant son avenir institutionnel. Quant au nouveau statut à définir, le monde économique souhaite le voir soumis à un référendum de projet, tout comme le président de la République qui entend laisser la porte ouverte à toutes les options.

    LIRE L'INTEGRALITE DU DISCOURS >> Sommet pour l’avenir de la Nouvelle-Calédonie : le monde économique mobilisé à l’Élysée | MEDEF NC <<

  • Sommet sur l’avenir institutionnel : Manuel Valls ouvre les discussions économiques et sociales "essentielles aux Calédoniens" | Les Nouvelles Calédoniennes 04/07/2025 - (...) La présidente du Medef-NC, Mimsy Daly, espère "un accord économique et social dans un accord politique" " Toutes les problématiques évoquées aujourd’hui ont déjà été évoquées, les diagnostics sont posés, mais là on rentre dans la véritable démarche d’insérer ça dans un accord avec des engagements forts, à la fois des politiques calédoniens mais aussi de l’État, dans un véritable plan de relance économique et sociale de la Nouvelle-Calédonie " a confié la présidente du Medef-NC, Mimsy Daly, interrogée par Outremers360. Elle a aussi salué l’invitation des acteurs économiques et sociaux, ainsi que les représentants de la société civile lors de ce sommet de la Nouvelle-Calédonie à Paris. " Un signal extrêmement fort " du chef de l’État, souligne la présidente du Medef. " C’est prendre en compte la souffrance des Calédoniens au quotidien […]. On est rassuré de ce parti pris et on espère qu’il en sortira quelque chose de positif rapidement ". (...)

  • Sommet sur la Nouvelle-Calédonie : avant tout accord politique, l'urgence économique NC La 1ère 04/07/2025 - VIDEO youtube - Les représentants économiques calédoniens ont insisté vendredi sur "l'urgence absolue" d'intégrer un volet social et économique à tout accord politique, à l'issue de deux jours de discussions consacrées à la situation de la Nouvelle-Calédonie, en marge du sommet politique sur l'avenir du territoire. "Il ne s'agit pas de trouver un accord à tout prix, mais un accord qui tienne compte de la réalité économique", a plaidé auprès de l'AFP la présidente du Medef-NC Mimsy Daly. Selon elle tout accord politique devra intégrer "un volet économique et social" et des "réformes structurelles" sur la fiscalité, la dépense publique ou l'organisation institutionnelle du territoire. (...)

 

  • Le sommet de la dernière chance | La Dépêche de Nouméa 04/07/2025 - (...) Le Medef et la CPME sonnent le tocsin. En première ligne, les patrons calédoniens n’ont pas mâché leurs mots. La présidente du MEDEF-NC a résumé le constat : sans redressement économique massif, pas de paix sociale durable. Difficile d’être plus clair. Elle a rappelé les piliers jugés incontournables : alléger la dépense publique, clarifier les institutions, libérer l’initiative privée, valoriser les terres coutumières et redéfinir la citoyenneté économique. Des demandes concrètes, loin des promesses abstraites. Même tonalité du côté de la CPME-NC. Christophe Dauthieux, son vice-président, a évoqué des chiffres qui donnent le vertige : plus de 1 000 entreprises liquidées, 12 000 salariés sur le carreau, et un tissu de TPE-PME à bout de souffle. Pour lui, la priorité est limpide : restaurer la sécurité et relancer la commande publique pour offrir un minimum de perspectives aux petites structures locales.

  • Avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie : Manuel Valls ouvre les discussions économiques et sociales « essentielles aux Calédoniens » | Outremers360 03/07/2025  Après l’ouverture du sommet sur l’avenir de la Nouvelle-Calédonie hier à l’Élysée, suivie par le début des négociations politiques à Bougival, le ministre des Outre-mer a ouvert, ce jeudi, le collège économique et social, rue Oudinot, accompagné par la ministre chargée des Comptes publiques Amélie de Montchalin.

  • OutreMer 360 03/07/2025 : Avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie : La présidente du Medef-NC espère « un accord économique et social dans un accord politique » La présidente du Medef calédonien Mimsy Daly dit espérer « un accord économique et social dans un accord politique », à l’issue de la première journée du collège économique et social réunis à Oudinot autour du ministre des Outre-mer Manuel Valls. « Toutes les problématiques évoquées aujourd’hui ont déjà été évoquées, les diagnostics sont posés, mais là on rentre dans la véritable démarche d’insérer ça dans un accord avec des engagements forts, à la fois des politiques calédoniens mais aussi de l’État, dans un véritable plan de relance économique et sociale de la Nouvelle-Calédonie » a confié la présidente du Medef-NC, interrogée par Outremers360.

Mimsy Daly a aussi salué l’invitation des acteurs économiques et sociaux, ainsi que les représentants de la société civile lors de ce sommet de la Nouvelle-Calédonie à Paris. « Un signal extrêmement fort » du chef de l’État, souligne la présidente du Medef. « C’est prendre en compte la souffrance des Calédoniens au quotidien (…). On est rassuré de ce parti pris et on espère qu’il en sortira quelque chose de positif rapidement ».

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