En cette période exceptionnelle pour la Nouvelle-Calédonie et le monde, le MEDEF-NC doit être plus que jamais mobilisé pour les entreprises du pays.
Jeudi 30 avril
- Outremers 360
Lundi 27 avril
- NC la 1ère
Samedi 25 avril
- Les Nouvelles Calédoniennes
Jeudi 23 avril
- NC la 1ère
Mercredi 22 avril
- Outremers 360
Silvio Pontoni, président de la FBTPNC, s'inquiète du "après Covid-19" pour les entreprises du BTP.
Mardi 21 avril
- Communiqué de presse
"Les 3 mots d'ordres du MEDEF-NC pour accélérer la reprise après Covid-19 !"
Vendredi 17 avril
- Radio Rythme Bleu
- Les Nouvelles Calédoniennes
Face à la crise, les petits commerces doivent (et savent) s’adapter
Le boom du commerce en ligne local
Au cours de cette crise, de nombreuses enseignes se sont massivement tournées vers Internet et la vente en ligne. Un secteur jusque-là encore peu développé sur le Caillou.
« Cela a été l’élément déclencheur pour que tout le monde puisse sauter le pas aujourd’hui, estime Frédéric Pratelli, le président du Syndicat des Commerçants. Cela ne remplace pas l’activité et la présence physique en magasin, mais cela permet aux entreprises de trouver de nouvelles organisations et services. C’est une nouvelle réponse locale à la demande des Calédoniens sur le commerce en ligne. C’est important que les entreprises se soient mises à niveau dans ce domaine car jusqu’à présent, les consommateurs misaient davantage sur les ventes en ligne à l’extérieur. Or nous pouvons être tout aussi compétitifs. Surtout en cette période de crise. »
Jeudi 16 avril
- NC La 1ère
Mardi 14 avril
- Les Nouvelles Calédoniennes
Les « allocations Covid-19 » et des mesures d’urgence votées au Congrès
L’interpatronale satisfaite
Au lendemain de l'adoption des « allocations Covid-19 » par le Congrès, l'interpatronale s’est « réjouie que la délibération proposée par le gouvernement et adoptée par le Congrès ait été amendée en considération des propositions que nous avions formulées ».
« Nous nous félicitons que les élus du Congrès aient retenu nos propositions sur deux points. La suppression des seuils de baisse de chiffres d'affaires pour l'accès à l'allocation-chômage partiel de nos salariés afin que toutes les entreprises en perte d'activité en bénéficient. Et l'accès au report des échéances sociales aux mêmes conditions que pour le chômage partiel », écrivent le MEDEF-NC, la CPME et l'U2P-NC dans un communiqué.
Concernant l'encadrement de ces dispositifs pour que les entreprises qui ne sont pas en difficulté ne puissent profiter d'un effet d'aubaine, les responsables patronaux « soutiennent ces mesures de sanctions et ne cautionneront jamais d'éventuels abus »
« Avec cette délibération, en complément des aides des provinces et de l'État, nous voyons ici que chaque institution s'est engagée massivement pour les entreprises et pour les salariés ».
Vendredi 10 avril
- Les Nouvelles Calédoniennes
La prime de « risque coronavirus » est loin de faire l’unanimité
« Chaque chose en son temps. Notre préoccupation première, c’est la survie des entreprises, c’est de ne mettre personne sur le carreau », recadre Valérie ZAOUI, trésorière du MEDEF-NC, qui rappelle qu’en Métropole, la prime est principalement le fait de « très grands groupes ».
Jeudi 9 avril
- Actu.nc
"Aujourd’hui, nous sommes tous sur des sables mouvants. 2020 sera une année noire pour l’économie, c’est une évidence", a souligné Valérie ZAOUI.
Mardi 7 avril
- Les Nouvelles Calédoniennes
L’inter-patronale satisfaite par le prêt garanti (PGE) mais déçue par les aides aux TPE
Les deux principales mesures de soutien annoncées hier après-midi par les services de l’État laissent une impression mitigée aux organisations patronales, qui regrettent des conditions d’accès trop restrictives pour le fonds de solidarité.
Lundi 6 avril
L’inter-patronale pointe du doigt le dispositif de chômage partiel
Vendredi, au cours d’une séance exceptionnelle, l’exécutif a voté une série de mesures, au premier rang desquelles un système de chômage partiel amélioré, appelée « allocation Covid-19 », ou encore la possibilité d’étaler les charges des entreprises et des indépendants. Dans un long communiqué publié samedi, l’inter-patronale est revenue sur ce « plan de sauvegarde de l’économie calédonienne ».
« Nous saluons ce travail pour trouver des solutions rapides à cette crise et sommes parfaitement conscients de la complexité des mesures spécifiques dans des temps record » , écrit l’inter-patronale qui regroupe le MEDEF-NC, la CPME et l’U2P.
Cependant, l’inter-patronale pointe du doigt le dispositif de chômage partiel dévoilé. Si elle « salue » une indemnisation calquée sur le dispositif métropolitain, elle dénonce les « conditions d’éligibilité » à ce dispositif.
« Cela ne répond pas aux besoins des entreprises face à la crise sociale et économique générée par l’épidémie » . « D’une part, de tels critères vont entraîner une importante rupture d’égalité entre les entreprises d’un point de vue concurrentiel et surtout, envers les salariés […] D’autre part, de tels critères vont à l’encontre de l’objectif fixé de poursuite de l’activité économique » , poursuivent les trois organisations patronales.
Pour rappel, le gouvernement a dévoilé un dispositif spécifique plus ambitieux que le précédent. Jusqu’à présent, le chômage partiel alloué par la Cafat représentait 66 % du SMG. Dans le futur système, il sera de 100 % pour les personnes qui sont au SMG, et descendra progressivement à 84 % du salaire net pour les personnes ayant une rémunération égale à 4,5 fois le SMG.
- Nouméa Post
"L'intersyndicale des employeurs, tout en saluant le travail du gouvernement sur les mesures de soutien à l'économie, demande un élargissement du dispositif prévu pour les indemnisations du chômage prévues spécifiquement pour la crise du Covid-19".
Dimanche 5 avril
- Les Nouvelles Calédoniennes
Chômage partiel : l'interpatronale dénonce un dispositif « insuffisant »
- NC la 1ère
Samedi 4 avril
- Radio Rythme Bleu
Vendredi 3 avril
- Communiqué de presse
Mardi 31 mars
- Les Nouvelles Calédoniennes
Cette semaine, c’est la paie. Mais la grande majorité des entreprises, surtout les petites, sont déjà en difficulté de trésorerie. L’amélioration de l’indemnisation du chômage partiel, promise par Paris, nécessite des adaptations juridiques qui prendront du temps. D’ici là, comment faire ? Nous avons interrogé les différentes organisations patronales.
« Dans de nombreuses entreprises, il y a eu mise au chômage partiel des salariés depuis le 19 ou le 20 mars. Ce qui représente à peu près une semaine et demie. Je parle ici de l’hôtellerie, de la restauration et des activités de loisirs, qui ont été fermées. Ces entreprises n’ont plus la moindre recette depuis une douzaine de jours. Leur personnel a été mis au chômage partiel. Pour eux, dans un premier temps, c’est le régime calédonien qui va s’appliquer. C’est-à-dire, 66 % du SMG net (à peine 100 000 F par mois) quel que soit le salaire de base. Ce qui veut dire que les salaires moyens ou élevés ne pourront même pas payer leurs charges courantes.
On nous annonce à présent que la solidarité nationale se mettra en œuvre. Mais de quelle manière et sous quel délai ? En Métropole et dans les DOM, l’indemnisation du chômage partiel se fait à hauteur de 84 % du salaire net, avec un plafond de 4,5 fois le SMG. Ce qui n’a rien à voir. Mais à ce jour, rien n’est acté. Par conséquent, les entreprises qui ont dû recourir au chômage partiel vont devoir s’aligner sur le barème calédonien et non sur le barême métropolitain. Au moins dans un premier temps. Pour le mois de mars, le chômage partiel ne comptera que pour une semaine et demie. Mais à la fin avril, si les choses se prolongent, cela pourrait concerner le mois entier. Il est donc impératif que les pouvoirs publics prennent en urgence les décisions nécessaires en relation avec l’État. »
Le président du Medef rappelle que la législation calédonienne, en son état actuel, peut mettre en grande difficulté non seulement ceux qui perçoivent des salaires conséquents, mais plus encore les petits salaires.
« Une personne au SMG qui va se retrouver avec 66 % de sa rémunération ne pourra pas tenir le coup. Elle ne pourra plus payer son loyer, ses charges courantes et va se retrouver en difficulté pour nourrir sa famille. Nous risquons d’aller vers des troubles sociaux importants.
On nous dit que la solidarité nationale nous est acquise. Mais de quelle façon ? Nous attendons de le savoir en détail, en sachant bien que toutes les entreprises, mêmes si elles sont en poursuite d’activité, même si elles n’ont pas recours au chômage partiel, subissent une forte dégradation économique. »
Daniel OCHIDA, Président du MEDEF-NC.
« Dans les petites entreprises, les magasins, les restaurants, tous les exploitants doivent faire avec le chômage partiel qui leur est tombé dessus. Comment s’y prendre ? Qui doit payer ? Il faut bien comprendre qu’à côté des entreprises fermées par décision gouvernementale, il y a toutes celles qui subissent un gros ralentissement d’activité. Pratiquement tous les secteurs sont touchés : stations-service, commerces non alimentaires, vêtements, articles de sport… Le confinement ralentit tout ce qui ne touche pas directement à l’alimentation ou à la santé. Même des activités jugées cruciales, comme la réparation automobile ou le carburant, s’effondrent parce que les clients sont confinés et ne viennent plus. Beaucoup de PME sont aussi entravées par le ralentissement de l’arrivage des matières premières. »
Le BTP travaille toujours, mais à ses risques et périls, selon Yann Lucien.
« Dans un tel secteur, la distanciation est une illusion. Les ouvriers doivent se côtoyer de très près pour manipuler une charge. Ces personnes ont de petits salaires et donc, pas de véhicule. Avec la raréfaction des transports en commun, c’est souvent le patron qui fait le ramassage et le covoiturage le matin. Autant de situations où chacun peut contaminer son voisin. »
Yann LUCIEN, Président de la CPME.
« Il ne faut pas négliger l’inquiétude des personnes en activité. Nous avons aussi dans les entreprises artisanales des gens qui ont peur de venir travailler parce qu’elles craignent de se retrouver au contact de personnes susceptibles de les contaminer. C’est donc un double frein à nos activités économiques. Dieu merci, les aides annoncées par la province Sud et le gouvernement devraient nous aider à sortir de la difficulté.
Il n’en demeure pas moins que tout le secteur des restaurants, hôtels, cafés et autres brasseries, qui sont actuellement fermés de force, est en grand danger et est, par conséquent, prioritaire pour bénéficier d’aides publiques.
Notre problème ne se limite pas au paiement des salaires, Il s’élargit aux problèmes généraux de trésorerie, à la possibilité réelle de poursuivre nos activités en sachant que les carnets de commandes se réduisent chaque jour un peu plus. »
Jean-Louis LAVAL, Président de l'U2P.
- Actu.nc
Travail en temps de coronavirus : les réponses du MEDEF-NC à vos questions
Lundi 30 mars 2020 :
- Actu.nc
Vendredi 27 mars 2020 :
- Conférence téléphonique
Le président du MEDEF-NC, M. Daniel OCHIDA, a participé à une conférence téléphonique, à laquelle étaient présents : le MEDEF Polynésie, la CCI de Wallis et Futuna ainsi que la FEDOM, le vendredi 27 mars 2020. Cette réunion a permis de faire un bilan de la situation sur nos 3 territoires et d’exposer les difficultés rencontrées.
Jeudi 26 mars 2020 :
- Chaine Youtube "Covid-19 Nouvelle-Calédonie"
Daniel OCHIDA parle de la création de la cellule de crise Covid-19 du MEDEF-NC.
- Les Nouvelles Calédoniennes
- Calédonia TV
Mercredi 25 mars 2020 :
- Radio Rythme Bleu
Mardi 24 mars 2020 :
- NC la 1ère
Lundi 23 mars 2020 :
- NC la 1ère
Daniel OCHIDA, Président du MEDEF-NC, est intervenu dans l'émission radio "Question pays".
Vendredi 20 mars 2020 :
- Les Nouvelles Calédoniennes
Les organisations patronales plaident pour « un confinement plus généralisé de toute urgence »
« Nous sommes entrés dans une guerre sanitaire inédite ». [...] Les organisations patronales ajoutent se mettre « à disposition du gouvernement pour identifier les secteurs prioritaires qui pourraient être les seuls à fonctionner dans le cadre d'un confinement généralisé ». « Nous pensons que si de telles mesures étaient appliquées rapidement, les dispositifs d’accompagnement et d’aides aux entreprises seraient plus limités dans le temps. Ainsi la crise pourrait être jugulée plus rapidement, avec un coût économique et social moindre. Nos organisations patronales sollicitent une réunion de travail de toute urgence avec le gouvernement et le représentant de l’État », concluent la CPME, le MEDEF-NC et l'U2P.
- Les Nouvelles Calédoniennes
Une interpatronale s’est constituée pour demander 30 milliards d’aide à l’État
Au nom de la CPME, le nouveau président Yann LUCIEN a demandé « non seulement l’étalement, mais l’exonération totale et définitive des impôts, taxes et charges sociales pour toutes les entreprises directement frappées par des ralentissements ou des arrêts d’activité ». Il estime le montant de ces charges et impôts à « 15 milliards de francs CFP par mois ». Il sollicite également des aides du gouvernement, « avec le soutien de l’État. Pour permettre aux entreprises d’assurer le paiement des salaires, des loyers, des traites bancaires, et du chômage quand il s’imposera aux employeurs. »
Le monde économique souhaite aussi la mise en place d’un numéro vert et d’un guichet unique à destination des petites et moyennes entreprises, où l’on pourrait conseiller les entrepreneurs sur l’ensemble des démarches à mener pour bénéficier d’avantages et d’exonérations.
Jean-Louis LAVAL, président de l’U2P, s’est livré pour sa part à une réflexion plus générale. « Cette pandémie montre que nous sommes arrivés au bout d’un système. Nous allons devoir modifier nos modèles économiques et nos interconnexions. Les pandémies, dans le cadre d’un réchauffement global mondial, vont modifier les sociétés et les interconnexions de manière durable. Après la crise, il faudra être capable de tirer les leçons de cette situation et ne pas avoir la mémoire courte. Nous devons nous préparer à gagner en autonomie, à la fois économique, énergétique et alimentaire. »
Les organisations patronales souhaitent aussi que le gouvernement calédonien se dote de pouvoirs exceptionnels pendant la crise. « En Métropole, un projet de loi va permettre à l’État de légiférer par ordonnances. Nous avons aussi besoin ici d’un pouvoir politique plus réactif. Il faudrait en revenir temporairement à l’unité de commandement et mettre de côté les millefeuilles administratif et institutionnel. » Pour Daniel OCHIDA, c’est Thierry SANTA, président du gouvernement et le haut-commissaire Laurent PRÉVOST qui devraient temporairement assurer cette mission.
En dépit de cette demande d’unité de commandement, les organisations patronales veulent être associées plus étroitement aux prises de décision du pouvoir politique. Notamment en participant aux comités hebdomadaires de crise. « En Australie, les acteurs économiques sont systématiquement associés aux décisions publiques » a fait remarquer un responsable puisque cette crise n’est pas que sanitaire, mais aussi économique.
Jeudi 19 mars 2020 :
- Les Nouvelles Calédoniennes
[...] pour aider les entreprises à passer la crise économique qui s’aggrave avec l’épidémie de coronavirus. C’est, à l’échelle de la Nouvelle-Calédonie, l’équivalent de ce qui a été débloqué par l’Etat pour soutenir l’économie en métropole, et permettre de financer les nombreuses mesures de chômage technique entraînées par la fermeture de différents établissements.
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